Quand on a fait de la merde et qu'on arrête d'un coups, on se sent vide, plus occupé qu'on est à nos défécations, defections de raisons rationnelles, absurdes constantes d'inconsciences éternelles...Et parfois non, car l'infini n'existe pas plus que les limites absurdes, seul nous subsistons et les choses subsistent telles qu'on les vis, selon nos vies, nos envies, nos mensonges, nos tromperies et nos vérités inconcevables... On ne les conçoit comme alienantes de notre esprit manipulé de nos frustrations digérées et dégluties, lorsque l'on défèque cette merde, qui parfois nous soulage, parfois nous fait tourner la page, nous menant vers la fin du livre qui nous traverse... Bâteau ivre qui vogue sur une rivière trop étroite, en eau peu profonde...Coquille de noix qui y flotte, parfois s'arrête, parfois repart, lorsqu'elle se décoince de derrière le rocher qui à stoppé sa course jusquà la mer. Certains n'iront jamais, d'autres si... Que d'embûches pour arriver là bas, mais le courrant y va fatalement, faut-il se laisser flotter au gré de celui ci ? Fabriqueriont nous quelques philosophies qui nous aident à en être libre ?
On peut parfois digérer longtemps, ça peut durer 6 mois...Et fatalement, on voit la merde arriver, la fin du spectacle, d'un cycle et on remange et on rechie, c'est comme ça, c'est la vie...A nous de vouloir lui faire dire quelque chose, de lui donner un sens...