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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 21:50

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Nous ne sommes pas maîtres de la situation

Références révérences

Nous nous sommes tous trouvés...

 

Il est vrai que l'on peut facilement aimer ou détester une chose, une personne, un lieu... Notre capacité d'exagération dans cet amour ou cette haine étonnera toujours les chercheurs en critéristation et les faiseur d’échelles de toutes sortes. Richter et consorts se targuant de se représenter à quel point l'on exagère, sont pourtant bien loin d'appréhender ne serais-ce que la moitié de notre exagération, de nos imaginations, de nos capacités de création de mondes nouveaux, se basant sur nos idées et trouvant refuge dans les yeux des autres...

Et un beau jour, patatra...Nos notions subjectives, perçues comme des réalités certaines, s'effondrent. Plus elles s'effondrent et plus on se met à les détester, leur en voulant de nous avoir trompé dans nos certitudes. On est alors de plus en plus amené à avoir une idée opposée aux choses anciennement admises.

Imaginons par exemple que l'on a toujours eu une ville en horreur. Admettons qu'on a passé une dizaine d'années de sa vie à la côtoyer, y étant obligé, l'haïssant en son sein. Imaginons qu'ensuite, on s'en soit éloigné, saisissant la première occasion de partir de cet endroit nous paraissant infecte. Imaginons toujours que durant ces années éloignées de son lieu d'origine, on ai allègrement continué à pester dessus et que plus le temps passa, plus on pesta. Si ce temps dura aussi 10 ans, nous avons devant nous un exemple de 20 ans de détestation bien ancrée.
Imaginons alors l'apparition d'un autre paramètre venant remettre en question tout cela. Un paramètre qui pourrait ne pas représenter grand chose pour les notions subjectives de beaucoup. Comme un simple petit cailloux dans les rouages bien huilés de nos détestations anciennes.

Imaginons que la simple présence d'une personne dans une ville d'une centaine de milliers d'habitants remette en cause tout ce principe de détestation que l'on croyait éternel.  Une personne sur 100 000, c'est pourtant peu, ça laisse la place à plus de 99 999 cons potentiels...Et pourtant, ironie du sort, la simple présence d'une personne remet tout en cause dans ce domaine, mais aussi dans tous les autres.

Des domaines, il y en a des milliards, des gens aussi et une seule personne, une seule chose, une seule idée, une seule impression, un seul sentiment, sont capables de remettre en cause tout le reste. Et vous voulez vivre d'une façon stable, dans un monde stable ? Vous êtes sure de ne pas être un tout petit peu con, un peu comme moi ! Est-ce que le fait de s'en rendre compte ne serait-il pas un bon moyen de revisiter quelques certitudes anciennes ?...Juste pour vérifier si elles sont toujours d'actualité dans nos esprits changeants. Bonne recherche...

18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 23:17

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Nous ne sommes pas maîtres de la situation

Références révérences

Les pigeons voyageurs, ou la lutte des classes internationale.

 

La vie est souvent triste et bien des gens la trouve trop triste pour trouver la force de la supporter. On ne peut pas leur jeter la pierre, il est vrai que la vie peut être intensément triste. Il y en a qui sont mieux lotis que d'autres dans ce domaine, c'est certain...

J'aimerais parfois que quelques religieux culpabilisateurs inquisitoires aient eu la vie de certains de ces suicidés, juste pour voire si ils tiendraient aussi longtemps qu'eux vivant. Ah ces malheureux ! Ils rejettent la vie que dieu leur a donné et iront en enfer pour ça...Grand bien leur en fasse, l'enfer, ils s'y sont déjà habitués étant vivant. Disons simplement qu'ils déménagent...

Le suicide, c'est humain. C'est bien ça que dieu a crée, des humains ? Il a bien crée des humains, pas des dieux ? C'est bien ça ? D'ailleurs, à ce propos, dieu a crée les humains à son image parait-il...Cela voudrait-il dire alors, que dieu aussi a déjà eu envie de se jeter sous un train ? Que dieu est un humain, basé dans la production en série d'autres humains ? Un  genre de Bill Gates qui crée des sortes de logiciels sur pattes ? On peut se poser la question, on peut même ne pas se la poser. Le résultat est bien le même, on en sait foutrement rien et on aura peu de chance d'en savoir plus avant de mourir.

Alors, peut-être que les suicidés seraient des impatients, dans ce cas. Il leur tarderait de savoir la vérité sur un dieu éventuel. Est-il humain, ou est-ce finalement un choux fleur géant qui travaille ardemment à la domination prochaine des renards sur terre ? Mystère et ésotérisme...

Il y en a qui veulent marquer de leur empreinte leur passage en tant qu'être vivant sur cette terre. Ils ont parfois l'impression que ce passage, leur représentation dans leur vie et celle des autres, n'a pas assez compté à leur gout. Leur mort leur parait alors être un bon moyen de se rattraper, ayant perdu l'espoir que leur potentielle vie future puisse encore le faire...A ceux la, leur suicide sera spectaculaire...Du moins, ça pourrait être leur volonté... On les a fai chier toute leur vie, alors la fin de celle-ci sera l'occasion de faire chier les autres, dans leur petite vie pépère de gens qui ne se suicident pas. Une sorte de vengeance apothéose, de pied de nez à un monde qui leur a sembler ingrat avec eux et eux avec lui. Une mauvaise relation entre eux et le monde qui se soldera par une rupture en mauvais terme, qui ne leur donnera plus jamais envie de se revoir.

Plusieurs moyens pratiques s'offrent alors à ces futurs suicidés pour exécuter leur office et devenir es bourreaux de ceux qui se trouveront sur leur chemin au moment propice. Ils pourront se jeter du haut d'un immeuble pour que les passants puissent admirer le spectacle d'une vie prenant soudainement fin. Avec un peu de chance, le suicidé emportera une ou deux vies avec lui, si la rue est suffisamment fréquentée.Un spectacle marquant qui saura être retenu des enfants de passage.

Ils pourront également commettre un petit massacre à la norvégienne, pour se suicider ensuite. Assouvir ses pulsion de meurtre sans aucune conséquence derrière..Quel courage ! Quelle noble attitude ! Il s'agit ici de causer le deuil de personnes autrui, étant donné que le sien a de forte chance de n'être fait par personne. C'est ce qui arrive en général aux gros connards...Mais pas à tous hélas, il y en a de bien entourés...Question de bon placement dans la hiérarchie sociale...

Plus banal pour les moins créatifs, se jeter sous un train. Les suicidés auront alors la joie de faire faire aux voyageurs d'un TER, un trajet qui durant une heure normalement, en trois fois plus de temps. Ils fouteront également quelque peu la merde dans le trafic ferroviaire de a journée...Et c'est tout ! Bref, pas vraiment d'ambition dans une mort qui se voulait spectaculaire...On est presque un peu déçu finalement...

Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ai l'ivresse. Qu'importe la manière, le suicidé finira bien de la même façon, mort. S'il se rate, il aura de grande chance de ne plus être capable de se suicider, c'est balo ! Peut-être pourra t-il compter sur l'une des personnes qu'il a emmerder lors de sa première tentative pour l'y aider...

Voilà, aujourd'hui, j'ai été bloqué quelques heures dans le train  parce qu'un pauv type a rien trouvé de mieux que de se jeter sur la voie pour mettre fin à ses jours. Il a certainement eu une vie de con et est également parti comme un con, en plus, en me faisant chier. Ceci dit, il a quand même réussi à faire qu'un jour dans ma vie, sa vie m'a concerné. Il se trouve que ce fut également le jour de sa mort. Souvent les suicidés sont seul, cette fois au moins, même si ça n'est pas très glorieux, sa vie a concerné un max de monde. Le mieux aurait été qu'elle concerne plus de gens un peu avant qu'il ne passe à l'acte. Triste sort pour lui, contrainte minime pour les voyageurs. Si l'on vivait dans un monde moins merdique, il y aurait moins de suicidés du train. Mais les gens continueront à en vouloir aux suicidés qui leur font perdre du temps, alors qu'ils ont un avion à prendre, ou un bronze à couler...Les suicidés continueront à vouloir se venger des gens individualistes qui se foutent d'eux...Et le monde continuera à fonctionner de cette belle façon, qui fait se confronter les malheureux et les biens installés dans le système...Le jour ou tous se ligueront pour faire chier le monde, peut-être qu'on se marrera un tout petit peu plus...On ne sait jamais...


20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 13:17

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Les idées et les faits...

Les faux culs

Le grand chantage.

Marketing

 

Il faut bien savoir la faire, la pub de ce qu'on fait, pour faire croire aux autres que l'on fait beaucoup, que l'on fait énormément...Mais si les autres s'amusaient à faire la même chose, paraissant si lointaine à ceux qui ne la font pas, si inaccessible à l'écoute des discours de ceux qui la font, ces autres se rendraient compte que ces choses paraissant tellement dure à effectuer, ne le sont en fait pas tellement. Ces choses encensées par ce qui les font, qui nous font croire parfois qu'elles sont indispensables, qu'ils sont indispensables du même coups, parfois ne valent pas grand chose. Elles ne valent pas grand chose, qu'a condition de se dégager quelques peu des codes, des jugements de valeurs absurdes auxquels on nous fait croire. 

La pub de ce qu'on fait, nous fait croire qu'il est impossible de réaliser pas grand chose...Ça n'est pas de l'absurdité ça ? On érige en modèle des gens qui font des choses que tout le monde pourrait faire à leur place, le tout en nous faisant croire qu'il serait impossible à toute autre personne, par exemple vous ou moi, de le faire. C'est un peu comme si ces gens qui font, soit disant, des choses exceptionnelles, était doué d'un don divin pour les faire. C'est comme cela que l'on peut facilement multiplier les poisson à la Jesus, du moins le faire croire à des gens, qui sont en train de voire quelqu'un qui fait de la merde.

Les gens qui font la pub de ce qu'il font, prioritairement au fait de faire quoi que ce soit, sont partout. Nous vivons aujourd'hui dans "Communication world", monde ou les belles vitrines sont plus importantes que ce qu'il y a à l'intérieur. Ici on vous offre du vent, mais on vous l'offre bien, avec les formes qu'il faut pour présenter un produit sans fond, sans consistance, sans gout, sans vie. Le système économique fonctionne comme ça, il vend du vent, à des gens qui n'ont que du vent dans la tête, à croire qu'un système spéculatif basé sur la politique du profit immédiat pourrait durer...Il ne durera pas, soyez en sûr, comme on dit, un homme averti en vaut deux, je vous souhaite donc d'être averti et de ne pas trop vous étonner quand il faudra que vous achetiez votre baguette avec une brouette de billet de banque...

Au travail, vous les voyez tous les jours, les gens qui font la pub de ce qu'ils font. Ils ne travaillent pas plus que vous, pas plus qu'un autre, ils axent simplement toute leur activité, pour que le peu qu'ils font soit vu des mieux placés, des gens influents. De même ils cassent du sucre sur le dos de leurs collègues, en critiquant ce qu’ils font et ce qu'ils sont, pour que le travail des délateurs suces boules soit encore mieux mis en valeur.

La société actuelle promeut cela, promeut la manipulation, les manipulateurs, les grands communicants, qui communiquent sur du vent. Derrière tout cela, il y a un monde qui stagne, qui ne fait pas grand chose au final, pas grand chose de plus que de manipuler le monde pour conserver un ordre établi, ordre dans lequel les manipulateurs ont un sort favorable. Il ne faut pas attendre des manipulateurs qu'ils changent les choses, ils se trouvent très bien comme ça. Il faudrait plutôt proposer de nouveaux modèles, qui se basent sur des choses faites et qui laisserait peut-être leur publicité de côté. Finalement je suis victime de cela tout comme vous, je ne fais pas grand chose à par écrire ou faire des concerts. J'écris et je parle, je propose des idées, mais je n'agis en rien concrètement pour les appliquer dans la vie réelle...Je me dis que cela changera surement, même si en soit écrire et faire des spectacles est aussi une action.

Quand on entendra moins les gens faire la pub d'eux même, peut-être les verra t-on faire des choses plus digne d'intérêt, c'est mon espoir...

8 juillet 2011 5 08 /07 /juillet /2011 07:38

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Le travail c'est la santé !

Discours de droite...

Les néolibéraux et la guillotine

Baisser les dépenses publques ? L'avis de François baroin.

Néolibéralisme et aides sociales : la culpabilisation des bénéficiaires du RSA...

La précarité au travail normalisée

 

Comme on dit, les plus courtes sont les meilleures ! Un Gustavson au travail, on peut dire que ça résonne comme une mauvaise blague...Oui, le Gustavson ne se nourrit hélas pas exclusivement d'amour et d'eau fraiche...Il est donc obligé de faire des boulots à la con, histoire de manger, de se loger, d'avoir de quoi s'acheter des paquets de kleenex afin d'y évacuer son trop plein de sperme exutoire des ses frustrations quotidiennes.

Mais voilà, bénédiction de la précarisation actuelle du travail, la fin des contrats arrive aussi vite que le temps de digestions de nos déchets par un pigeon urbain. Alors, pour moi c'est aujourd'hui, c'est ma fin de contrat, mon dernier jour au taf...Le moment idéal de faire un bilan de ces années passées à tenter de me faire exploiter le moins possible par mon employeur et plus globalement par la société néolibérale. Mon moyen pour ça : glander le plus possible, tenter d'insuffler à mes collègue l'esprit du Gustavson au travail, des pauses prolongées, du lien social entre les employés, du discours politique alternatif à la religion du stakhanovisme professionnel, de toutes ces choses qui ont fait que j'ai pu bosser durant des années, sans devenir un gros con d'esclave se laissant poser les œillères du saint système, pour qu'il ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Là ou l'on m'imposait du "diviser pour mieux régner", je répondais par du "ressouder pour mieux résister". Là ou on m'imposait d'être un bon soldat obéissant et lèche cul, je suis devenu un saboteur de travail bien fait et un contrarieur de petits chefs malhabiles.

Maintenant, c'est finit pour moi, je me dis qu'il y a des chances pour que je ne travaille plus jamais et cette perspective me fait naturellement sourire. A ceux qui se demandent comment je vivrais ailleurs, je répondrait que je vivrait en dehors de leurs normes à la con, dont ils ne se rendent hélas pas compte de l'absurdité. C'est du moins mon avis, qui ne vaut pas plus que l'avis d'un type qu'il est possible de ne pas écouter.

Vous allez continuer à travailler et moi je vais continuer d'écrire. Vous allez continuer votre vie insouciante et je continuerais à me poser des questions pour vous, à votre place, mais comme j'ai le cœur sur la main, n'en soyez pas gênés pour moi, je le fait avec plaisir, par bonté d'âme...

N'oubliez pas que le travail, c'est la santé des autres, alors si vous ne vous sentez pas bien dans votre peau, stressé, angoissé, malheureux...Ralentissez ! En ne mettant plus votre coeur à l'ouvrage, vous le mettrez ailleurs et vous verrez que ça n'est pas plus mal, pour vivre mieux, en vous sentant mieux. Pensez à vous avant de penser à ceux qui pensent pour vous et vous comprendrez mieux comment on vous manipule...

Voilà, amis travailleur, je vous quitte. Encore une journée ou j'enchaînerais les pauses cafés, ou je me marrerais avec mes collègues..Je finirais saoul du pot de départ et ciao la compagnie ! Je me tire pour voire si l'herbe est plus verte ailleurs...Et si ça n'est pas le cas, je me contenterais bien de la couleur qu'elle aura...

4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 21:55

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Le travail c'est la santé !

Salle d'attente

A côté de la plaque !

 

Une claque, encore une autre, une claque plus un claque, ça fait des bleus, des équimoses, des séquelles et les séquelles, plus des séquelles, ça fait des tarés.

Moi j'ai mes séquelles et les séquelles de ceux qui me font des séquelles, ça fait plus de séquelles et j'en ai rien à foutre, parce que j'ai fini par aimer ça. Ouais les séquelles ça me rassure, parce que c'est habituel, l'habituel rassure, c'est pas vrai, non c'est pas vrai ?!

Voilà, je suis là et j'ai une vie de merde, alors les remue ménages qui remuent les méninges, ça a finit par donner un peu de sel aux choses fades. Ouais, j'irais rajouter du sel à tout prix, jusqu'à m'en rendre malade, jusqu'à ce que mon corps ne le supporte plus, mais j'en mettrais du sel, plein, jusqu'à ce que j'en crève.

Le sel, c'est comme la merde, ça donne du gout, si on les mélange, ça donne un autre gout, mais est-ce que ça vaut vraiment le coups de s'intoxiquer avec ça ? Peut-être pas, mais est-ce que ça vaut le coups de s'intoxiquer avec autre chose ? Certainement que non. On dira qu'au moins ça change des intoxications habituelles.

Pourquoi est-ce que j'écris ça d'ailleurs, parce que je suis mal et que j'ai envie d'en faire profiter les autres, parce que j'ai envie de rendre les autres malades ? J'en sais rien moi même, tout ce que je sais, c'est que je ne vais certainement pas m'en priver, que je ne vais certainement pas vous en priver, pour la simple et bonne raison que je fais ce que je veux avec ce que j'écris.

C'est marrant comme parfois on ne pense à rien et puis on nous dit des choses, alors on pense à ces choses. On rumine, on digère et quand on arrive enfin à concrétiser vaguement ce qu'on a dans le bide, on se rend compte que c'est déjà passé, c'est bien dommage. Même pas le temps d'apprécier son mal de bide ! Nous n'avons donc pas tous le même rythme de digestion, tan pis. Mais va t-il falloir que je me résolve à ne voire que des ruminants, dans ce cas là ? Ca serait bien triste pour moi...

Je n'irais pas jusqu'à dire que j'aime vraiment les claques, ni les séquelles qu'elles perpétuent, mais il est vrai qu'au bout d'un moment, avec l'accumulation des coups, on finit par ne plus rien voire d'autre. C'est le cas pour moi, comme pour tant d'autres. Non, je ne suis pas une victime, parce que j'en ai conscience, parce que j'essaye de voire plus loin que le bout de mon nez et que je tente d’entrevoir que derrière ceux qui m'ont mis des claques, se trouvent ceux qui les y ont incité et qui tout comme les fouteurs de claques, ont reçus leur propres claques et ainsi de suite...

Je suis là au milieu de tout ça, essayant au maximum de mes moyens de ne pas faire subir mes claques aux autres et les faisant tout de même fatalement subir. La bonne volonté est peut-être la seule chose qu'il nous reste là dedans. Essayer de faire bien, essayer de faire au mieux...Mais faire au mieux pour les choses que l'on estime essentielles. Moi par exemple, je n'estime pas le travail comme une chose essentielle, je préfère garder toute ma bonne volonté pour autre chose, pour quelque chose qui en vaille vraiment la peine...Me crever au taf pour finir trop crevé physiquement et moralement pour tout le reste, ça n'est pas mon truc. Après, chacun fait comme il veut, je n'irais pas donner de leçons aux gens, quand je vois le résultat de cette philosophie pour moi, dans ce monde de merde, ou le travail est une religion, je me dis que pour vivre heureux, il faut vivre exploité et inconscient de l'être.

Alors je vais continuer à essayer de devenir moins con et ce qui est beau dans tout ça, c'est qu'il y a vraiment moyen vu d’où je pars...La connerie est le compagnon de tous, le tout est d'avoir assez de jugeote pour la mettre à un endroit à peu près convenable de sa vie..Je continue à chercher..




4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 06:31

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Oui, nous sommes tous des merdes !

Le grand chantage.

L'histoire d'une goute d'eau

 

Il y a des choses que l'on ne fait plus de son fait, que l'on voudrait quitter soit même, mais que l'on continue à effectuer, soumis à une sorte d'obligation morale, que l'on croit obligation. Mais l'obligation n'existe que pour ceux qui s'y croient obligé et il est aisé, quand on prend conscience de l'absurdité de cette obligation, de la perte de temps qu'elle représente, temps ou l'on aurait pu faire d'autres choses qui nous épanouissent plus, de s'en détacher, d'en défaire soit même les liens, tant ils ont été détendu par le poids de nos déceptions à son égard.

Ce qui est troublant la dedans, c'est que même quand on continue à se soustraire à cette sorte d'obligation morale, à minima, les personnes envers qui l'on se sent obligé trouvent le moyen de continuer à nous faire perdre notre temps, à faire des trucs en rapport avec cette obligation, alors qu'on avait justement décidé de ne s'investir qu'à minima. Elles sont dures à faire disparaitre les mauvaises habitudes et il faut toute la mauvaise volonté du monde, pour que les rapport à l'obligation changent. Parfois on devrait dire, "vous voulez que je me maintiennent dans cette obligation ? Obligation ou je ne trouve plus personnellement mon intérêt ? Et bien, faites ce qu'il faut pour ça, faites ce qu'il y a a faire et ne me demandez plus autre chose qu'un investissement à minima." Il est finit le temps ou je trouvais mon intérêt à cette obligation, maintenant j'y reste encore un peu, par respect pour certains qui me le demande, mais il ne faut pas croire que mon investissement sera le même.

Pour faire que je continue à perpétuer personnellement cette fausse obligation, il va falloir tenter de me convaincre, qu'elle peut encore se révéler être en adéquation avec mes envies, mes intérêts, il va falloir être convainquant par ce que quand je vois ce que je vois, j'entends ce que j'entends, je ne le suit pas du tout, pour l'instant. Si cela ne tenait qu'à mon opinion, je me serais éloigné de cette obligation depuis bien longtemps, mais des gens que je respecte veulent que je continue, alors je continue encore, mais il ne faut vraiment pas trop m'en demander, d'ailleurs, il ne faut pas m'en demander du tout. On ne va pas fonder le fait d'effectuer une tâche, sur quelqu'un qui n'y croit plus. Il faudrait plutôt que ceux qui y croient encore travaille d’arrache pied à convaincre celui qui n'y croit plus d'y croire à nouveau.

Voilà, au final, je me rends compte que même si j'ai décidé de m’investir à minima dans certaines obligations, j'y passe encore trop de temps. Cela me contrarie, cela m'exaspère et m'éloigne encore plus de ces obligations, que je sent de moins en moins miennes.

1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 08:29

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Les suces boules

"Si elle ne veut pas travailler, qu'elle laisse la place aux autres, il y en a tellement qui attendent..."

Exclusion par le travail..

Passions communes

Oui, nous sommes tous des merdes !

Morano fait virer des employés..

 

Ils parlent les anges parlent et se dépècent en leur absence, pour mieux savoir avoir l'air policé, à la vue du cadavre qu'ils avaient à l'esprit, lorsque celui-ci devient un être vivant face à soit. Ils dépècent, pestent sur leur voisin et une fois le voisin venu, redeviennent d'agréables voisins, disent bonjour, merci et vous souhaite la bonne journée. Ils dépècent, restent à leur haine insatisfaite de n'être entrée en action, la haine reste dans leur tête et génère rancœurs et frustrations. Elle n'est pas assouvie, la passion de ces gens,  reste dans leur esprit ou cette passion s'étend, jusqu’à ne plus voire qu'elle, syndrome pathologique, de l'homme qui désespère quand sa passion cogite.

Ils se détestent et font semblant, n'ayant pas choisit d'être ensemble en ces instant, ou l'obligation sociétale les a amené à s'enfermer dans un bureau. Alors ils vivent sans trop paraître, mais pensent bien ici, qu'ils ont les nerfs et tenteront de solutionner ceci, par quelques bites léchées. De délations en bonnes humeurs, de confidences en petites manœuvres, ils tenteront de garder le bon et de lâcher le lest des passions, vers le pôle emploi, ou ils seront bien, ceux que l'on a pas supporté, sournoisement étant évincés, par la vindicte des commérages.

Ils sont beaux les moutons suces boules, qui bêlent en rêvant de se manger entre eux. C'est chacun pour sa gueule et tous dans la même merde et pourvu que l'on s'en sorte mieux que sont prochain, qu'on chope la paille qui nous permette de respirer un peu d'air putréfié. Pendant que les autres mangent de l'excrément, nous prenons une bouffée d'air, en leur marchant sur la gueule, alors qu'ensemble, pour pourrait s'en sortir tous les deux, tous les cents, de cette merde puante ou l'on a bien voulu nous mettre, parce que nous y sommes bien, pour certains que ça arrange.

Noyez vous dans votre merde anges dépeceur d'âmes, vos passions vous feront exploser le bide tellement elles vous feront des nœuds dans l'estomac et vous crèverez dans votre haine et vous crèverez dans vos contradictions entre le bien paraître et le mal pensé.  

30 mai 2011 1 30 /05 /mai /2011 10:43

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Je suis heureux !

T'as pas honte !

GUSTAVSON censuré !

Ecoute avant de beugler !

Assumer ses conneries.

La syntaxe

Papa, c'est quoi un GUSTAVSON ?

Le cigare aux bord des lèvres..

 

Depuis le début de la rédaction du Gustavson's blog, je le confesse, je me suis servi de vous, pour le bien de mes élucubrations scabreuses, graveleuses et fécaloïdes, sur des sujets tant quotidiens et personnels, que généralistes, politiques ou à la con...

Si j'avais voulu me faire des amis avec ces quelques publications, ça se saurait ! En fait c'est tout l'inverse qui s'est passé. Personne est à l'abri, même les gens les plus proches de moi. Une phrase de travers, un mot mal sorti, une pensée à la con et hop, un article est pondu. Du coups vous vous sentez visés, vous vous insurgez de voire vos propos déformés et vous êtes fâché..Quoi de plus normal, quoi de plus banal...

Alors ce GUSTAVSON, le problème, c'est qu'il est capable de se fâcher avec la terre entière, pour ne serais-ce qu'un article pondu, c'est un compulsif, un impulsif, un psychosé, un gros con de frustré, qui se défoule en écrivant de la merde sur le net... GUSTAVSON, il est derrière son ordi, sur scène en concert, parfois dans la rue. GUSTAVSON, il se nourri de yaourt géant dans lesquelles il trempé des frites de 3m, il porte un slip sale sur la tête et il se chie dessus en guise d'anti-moustiques. GUSTAVSON est un personnage fictif, au service duquel je suis. Vous ne le saviez pas, mais quand vous êtes avec moi, que je suis gentil, poli, agréable, tous vos mots sont disséqués, analysés, étudiés et dès que quelque chose d’intéressant sort de vos conversations, de vos geste, de vos attitudes, ceci est directement répété à GUSTAVSON, qui s'en va narrer ceci dans un article du Gustavson's Blog. 

Chaque personne de mon entourage est donc une victime potentielle de mes avis et mes opinions, exacerbées par ce double que je me suis crée, un double qui ne concède rien, un double qui n'éprouve ni honte, ni gêne, un double défouloir de ma vie frustrée par les blocages civilisationnels qu'elle subit au quotidien. Ma vie, comme la votre, est soumise à des normes, des règles, des façons de se comporter en société. Comme vous, cela me frustre, m'énerve (consciemment ou inconsciemment), m'inhibe, me rend con, cloisonné, cloisonnant, angoissé, angoissant...Alors, pour lâcher un peu de lest, me détendre, me défouler, dire ce que je pense vraiment, d'une manière exagérée, compensant quelque peu l'exagération inverse à mes opinions, représentant la pensée commune admise, j'ai crée GUSTAVSON.

Parfois, GUSTAVSON apparait même dans la vraie vie, une fois que mes politesses ne suffisent plus, que l’agression à mon égard se fait trop flagrante, là, GUSTAVSON arrive et vous vous en prenez plein la gueule (mais ce ne sont que des mots...)..Heureusement, ça n'arrive presque jamais. GUSTAVSON est en moi et hors de moi et vous aussi, vous avez votre propre GUSTAVSON, mais vous ne lui laissez pas de place, vous ne lui laissez pas la parole, la plupart du temps...

Moi je laisse la parole à GUSTAVSON, j'ai libéré sa parole, du coup s, il en profite allègrement...Après on est ni obligé de le lire, ni de l'écouter..

29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 10:32

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Amour ?

Pourquoi suis-je énervé ?

L'exactitude subjective

 

En voilà une phrase que j'ai entendu à maintes reprises, "de toute façon, j'aime pas les blonds"...Les gens disent cela comme s'il s'agissait d'une boutade anodine. Pour eux, cela en est une, ils ne voient pas plus loin la réelle signification de ces mots et leur portée réelle, si l'on s'en tien à ce que ces mots veulent réellement dire. Les gens disent ça, comme s'ils disaient,, "de toute façon, j'aime pas les frites...". La différence entre les frites et les blonds, réside dans le fait que les blonds ne sont pas des morceaux de patate frits, que l'on achète au rayon surgelé du supermarché. On ne choisi pas un blond, un brun, un noir un blanc, comme on pourrait hésiter entre deux marques de boites de thon au naturel...

Oui, je sais bien que les blonds sont bien moins victimes de discrimination que les noirs, les arabes, les musulmans, dans la société française. Hélas, je trouverais plus facilement du travail, je rentrerais plus facilement en boite, je trouverais plus facilement un logement, juste à cause de la couleur de ma peau et de mes cheveux dans une moindre mesure...Jusqu'à ce que la société devienne moins conne et cloisonnante, que les votes pour des partis comme le FN baissent et qu'enfin, on cesse d'agir et d’appréhender les personnes selon des critères objectifs inhérents à leur corps, à leur culture, qu'elles ne peuvent changer...A part pour Michael Jackson, il est difficile d'être noire et de se transformer en blanc, que je sache. Par contre on peut aisément juger une personne selon son degré de connerie humaine, critère relatif à la personne qui jugera les personnes avec qui elle s'entendra ou pas...Lien : Le fascisme

Mais quand j’entends cette phrase me concernant directement ou indirectement, "de toute façon, j'aime pas les blonds", même si c'est dit sur le ton de la plaisanterie et que la personne qui déclame cette phrase stupide ne pense pas un mal, j'entends une sorte de racisme, comme si elle avait dit, "de toute façon, j'aime pas les noirs...". Il se trouve qu'un jour j'étais confronter directement à cette situation. Je me baladais avec un pote noir, des filles sont passées en face de nous, mon pote s'est retourné et a alpaguer les jeunes filles en leur disant, "hey les filles, comment vous le trouvez mon pote ?", parce qu'on devait parler des relations hommes femmes à ce moment là...Outre le fait que ce pote s'est comporté ce jour là, d'une manière bien relou, je fus étonné de la réponse des jeunes filles, qui se sont attardées à répondre à une requête aussi stupide...Donc elle ont répondu cette phrase fatidique en riant, "non j'aime pas les blonds". Alors je me tourne vers mon ami qui riait et lui dit, "qu'aurais tu pensé si elle avaient dit, de toute façon j'aime pas les noirs...". Du coups il n'a plus rit.

Je veux bien qu'on me dise que je suis trop con, trop bête, trop tout ce qu'on veux, tant que cela se fait sur des critère subjectifs et non objectifs, inhérents à ma biologie interne. Si je suis blond, ça n'est pas de ma faute, comme ça n'est pas plus la faute de quelqu'un s'il est noir, a les cheveux brun, ou roux...Par contre, une personne n'est pas condamné à sortir des propos racistes sans s'en rendre compte, ça n'est pas une fatalité...Si je me fais appeler Gustavson, c'est justement pour exagérer sur le fait que suis blond, en en mettant une bonne dose pour éviter que les autres me fassent chier avec ça. Je ne suis pas fier d'être blond, je n'en ai pas honte non pus, je suis blond, c'est comme ça. On peut blaguer sur tout, même sur la couleur de peau ou de cheveux, ça n'est pas ça qui me dérange, on peut vanner les blonds, ou les noirs...Il y a de plus ou moins bonnes plaisanteries, mais ça ne reste que des plaisanteries. Mais quand j'entends des personnes dire, "de toute façon, je n'aime pas les blonds", souvent, pas toujours, je n'entends pas le ton de la plaisanterie, mais un ton plus sérieux relatant des goûts esthétiques personnels. Là ça m'énerve plus et ce ton là est assez généralisé dans la société...Ah je préfère esthétiquement les personnes à la peau bronzée, à la peau claire, les personnes aux cheveux blonds, aux cheveux bruns. Même si c'est moins grave parce que ça va vachement moins loin, ces réflexions se font sur la base de critères communs avec le nazisme...Donc sans s'en rendre compte, on est, ou on a tous été un peu nazi. Personnellement, il n'est pas de mon goût de fonctionner selon des critères nazis, donc j'ai arrêté de me faire ce type de réflexion stupide.

Hélas, quand une personne nous plait, elle nous plait en premier lieu selon des critères physiques, après on découvre le reste. J'aimerais juste que ces critères physiques ne se basent pas autant sur des appartenances de race, que c'est le cas actuellement. On peut trouver belle, tout type de personnes, qu'importe son origine. On peut aussi trouver moche tout type de personne, qu'importe son origine. Mais ça n'est pas l'origine de la personne qui détermine si elle est belle esthétiquement, selon nos goûts subjectifs, relatifs à nous. Quand on dit "de toute façon, je n'aime pas les blonds", on s'interdit de trouver beau esthétiquement tous les blonds, alors qu'on ne les a pas tous vu et qu'ils en existe peut-être qui nous plairont. Donc cette phrase est stupide et dans la vie, il est toujours de bon ton d'éviter les phrases stupides toutes faites.

24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 13:04

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ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

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On peut faire des conneries, on peut accumuler les conneries, "que celui qui n'a jamais fait de connerie me jette la première pierre", comme on dit. On cumule, on accumule, jusqu'à devenir meilleur et faire moins de conneries.

Alors la connerie, c'est subjectif, certes, mais il y a des conneries universelles, celles qui relèvent de l'éloignement profond de toute raison humaine.

Après, des conneries, on est pas toujours obligé de refaire les mêmes sans cesse, les conneries ne sont pas une fatalité. Pourtant je constate que certaines personnes sont en reproduction de conneries identiques. On croit qu'elles ne feront plus telle ou telle connerie et quand on ne s'y attend plus, elles recommencent..Pourquoi ?

Et bien c'est simple comme une merde qui reste collé à nos poils de cul. Lorsque l'on assume pas ses conneries, qu'on veut vite les oublier, au lieu de tenter d'en solutionner les causes, qui ont amenées aux conséquences se révélant comme les conneries que l'on a faites, on finit toujours par refaire les mêmes, comme si on était programmé pour ça.

Alors au bout d'un moment, il faut arrêter de faire l'autruche et assumer ses actes, ses comportements, ses conneries, pour comprendre d’où elles viennent et arrêter de se complaire dedans. Il faut aller de l'avant, progresser, devenir un homme !

Assumer ses conneries est le premier pas vers la sagesse, si sagesse il doit y avoir un jour. Quand on fait une connerie une fois, ça n'est pas la peine d'en rajouter, la personne à déjà assez honte comme ça. Elle a su tirer les leçons de sa connerie, pour ne pas la reproduire à l'identique, quelques jours, quelques semaines ou quelques mois plus tard. Du moins, c'est ce que l'on croit, jusqu'à ce que l'on constate que la même connerie se reproduit, parfois au moment ou l'on ne croyait plus à son retour...A ce moment là, selon moi, il convient d'en remettre une couche, parce que visiblement, la première couche n'a pas suffit.

Il ne s'agit pas ici de s'acharner pour enfoncer la personne, mais plutôt, d'insister sur un problème qu'elle a du mal à résoudre, problème qui a malheureusement, des conséquences néfastes sur son entourage, qui lui n'a pas l'obligation de devoir assumer ces problèmes là. L'entourage a déjà ses propres problèmes, dont il ne fait pas forcément profiter les autres, en leur créant d'autres problèmes, en plus de ceux qu'ils ont déjà à gérer. La moindre des choses pour eux, est de pointer du doigt les problèmes des autres qu'ils ont a subir, d'insister dessus, s'ils ne cautionnent pas le fait qu'ils les subissent, alors que rien ne le légitime. Non seulement cela pourra aider ceux qui reproduisent toujours les mêmes conneries, à prendre conscience de leurs problèmes, mais ça permettra également à ceux qui subissent les problèmes des autres, de ne pas les subir en silence, sans faire valoir le fait qu'il est illégitime qu'ils doivent les subir et qu'ils n'en sont en rien obligés.

Assumer ses conneries est le premier pas vers leur solutionnement...Ne pas les assumer est le premier pas vers la reproduction des mêmes conneries...

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