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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 08:29

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Les suces boules

"Si elle ne veut pas travailler, qu'elle laisse la place aux autres, il y en a tellement qui attendent..."

Exclusion par le travail..

Passions communes

Oui, nous sommes tous des merdes !

Morano fait virer des employés..

 

Ils parlent les anges parlent et se dépècent en leur absence, pour mieux savoir avoir l'air policé, à la vue du cadavre qu'ils avaient à l'esprit, lorsque celui-ci devient un être vivant face à soit. Ils dépècent, pestent sur leur voisin et une fois le voisin venu, redeviennent d'agréables voisins, disent bonjour, merci et vous souhaite la bonne journée. Ils dépècent, restent à leur haine insatisfaite de n'être entrée en action, la haine reste dans leur tête et génère rancœurs et frustrations. Elle n'est pas assouvie, la passion de ces gens,  reste dans leur esprit ou cette passion s'étend, jusqu’à ne plus voire qu'elle, syndrome pathologique, de l'homme qui désespère quand sa passion cogite.

Ils se détestent et font semblant, n'ayant pas choisit d'être ensemble en ces instant, ou l'obligation sociétale les a amené à s'enfermer dans un bureau. Alors ils vivent sans trop paraître, mais pensent bien ici, qu'ils ont les nerfs et tenteront de solutionner ceci, par quelques bites léchées. De délations en bonnes humeurs, de confidences en petites manœuvres, ils tenteront de garder le bon et de lâcher le lest des passions, vers le pôle emploi, ou ils seront bien, ceux que l'on a pas supporté, sournoisement étant évincés, par la vindicte des commérages.

Ils sont beaux les moutons suces boules, qui bêlent en rêvant de se manger entre eux. C'est chacun pour sa gueule et tous dans la même merde et pourvu que l'on s'en sorte mieux que sont prochain, qu'on chope la paille qui nous permette de respirer un peu d'air putréfié. Pendant que les autres mangent de l'excrément, nous prenons une bouffée d'air, en leur marchant sur la gueule, alors qu'ensemble, pour pourrait s'en sortir tous les deux, tous les cents, de cette merde puante ou l'on a bien voulu nous mettre, parce que nous y sommes bien, pour certains que ça arrange.

Noyez vous dans votre merde anges dépeceur d'âmes, vos passions vous feront exploser le bide tellement elles vous feront des nœuds dans l'estomac et vous crèverez dans votre haine et vous crèverez dans vos contradictions entre le bien paraître et le mal pensé.  

1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 07:25

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Autres poésies :

Sinistrose d'appartement

La marche des nerfs

Ivre de mort

 

Aux confins de vos haines passionnées
et affabulatrices, c'est vous qui m'avez crée
je suis là et j’imite la sédimentation
en ajoutant ma merde, à celles de vos passions

Vocifèrent et pullulent, toutes les sombres pensées
qui s'exclamant hululent, hors des propriétés
que renfermaient vos crânes, qui s'en sont extirpés
bien dommage pour mon âme, par qui elles sont passées

Digérées et vomies, par mon corps dégouté
d'avoir transporté cela, pour mieux le rejeter
mauvaise graisse encaissée, et mon cholestérol
s'en retrouve augmenté, agit sur ma parole

Créateurs de vomis, moi simple conséquence
de vos perfides écris, et rationnelles absences
absurde est votre monde, et vous l'êtes tout autant
si seulement c'était drôle, je ne perdrais pas mon temps

A énerver l’impie, sans avoir convaincu
mais sa haine ma servi, à ce qu'elle soit bien vu
des gens sans opinions, pouvant en trouver une
constatant les passions, de la pensée commune...

31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 15:45

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Vernissages...La chanson de GUSTAVSON en écoute

Normalisez le caca !

La théorie du seau de merde à la gueule

Le cigare aux bord des lèvres..

 

J'ai une très grande admiration pour le caca, il me ressemble, mais ne se déguise pas. Moi je suis obligé de m'inventer des GUSTAVSON et autres personnages scabreux, pour me présenter en publique, pour me représenter en société, parce que j'ai trop peur de dire qu'en fait, c'est moi. Oui, je suis une merde, tout comme vous ! Je suis une merde qui se met du parfum, se couvre d'une autre image, qui fait semblant de ne pas être une merde, en se trainant hors de la cuvette de chiottes... Mais une merde reste une merde, qu'importe qu'elle soit sur un trottoir, dans une litière, sur un fauteuil de ministre, une merde ne change pas sa nature selon sa position géographique. Elle sera plus ou moins séchée, plus ou moins consistante, mais elle restera une merde, même en la broyant et en la mélangeant dans un pot de Nesquick...

Parfois, j'ai envie de me chier dessus, juste pour confirmer à la masse du monde que je suis une grosse merde. J'aimerais qu'eux aussi, se chient dessus à leur tour, pour que chacun prenne conscience de qui il est et de ce qu'il fait, parce que finalement, nos agissements, notre mode de vie, ne valent pas mieux que le fait de se chier dessus. Oui, on le mérite, on mérite de se chier dessus, on mérite qu'on nous chie dessus, on mérite de vivre dans un monde scatophile parce que finalement, il l'est, mais n'est différent que parce qu'il fait semblant de ne pas l'être, parce qu'il se déguise en quelque chose de propre, alors qu'il n'est qu'un amoncellement de sédimentations fécales. Voyez la merde que nous faisons, voyez la merde que nous sommes et en assumant cette fonction, ce statut, peut-être que vous aurez envie d'en changer, de changer.

La prise de conscience de sa condition est la première étape qui mène à l'engagement contre l'absurdité d'une société, qui nous y a mené...

31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 13:39

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ARTICLE SUR LE SUJET E LIEN :

Le grand chantage.

Les supermarchés

Salaud d'assistés : les théories de Vauquiez, de l'UMP et du néolibéralisme vues par les cons...

 

Ah cette Nadine Morano, elle se distingue souvent par les conneries qu'elle sort dans les médias, qui discréditent souvent son camp politique et les idées qu'elle défend. Maintenant, elle se distingue aussi dans sa vie privée...

Pour comprendre Nadine Morano, il faut savoir d'où elle vient. Contrairement à la plupart des ses congénères de l'UMP, elle n'est pas issue des classes sociales aisées. Elle vient d'une banlieue de la région de Nancy, n'a pas roulé sur l'or dans sa jeunesse et représente une sorte de vitrine pour l'état sarkozien, de réussite de l'ascensseur social, exception pour quelques personnes confirmant la règle de l'immobilisme en la matière. Après les disgrâces de Rachida Dati qui s'est trop affiché en robes Christian Dior et qui ne savait pas tenir sa langue aux journalistes, disséminant quelques rumeurs sur les affaires de mœurs du pouvoir.. De Rama Yade, qui a trop ouvert sa gueule sur les droits de l'homme, quand il fallait signer des contrats juteux avec des dictatures sanguinaires...Il ne restait plus que Morano, pour représenter la réussite des pauvres dans la société néolibérale.

Mais voilà, quand on vient de chez les pouilleux et qu'on est snob, qu'on fait tout pour entrer dans la famille des bien placés hierarchiquement, dans le giron du pouvoir, on garde certaines frustrations issues de sa vie passée. Tout ce qui pourrait rappeler les vexations que l'on a subit à ce moment là, sont à proscrire. Alors il ne faut pas emmerder Nadine Morano, en lui faisant subir des petites vexations que tous subissent dans leur quotidien, si l'on est pas titulaire du statut qui nous le permet. C'est l'amer expérience qu'a vécue une employée d'un centre commercial de Nancy.

Comme Madame "tout le monde", notre cher Nadine fait des courses avec sa fille et...Un garde du corps. Les employés plaisantent alors la dessus et l'un d'eux déclare, qu'il pourrait mettre à terre ce garde du corps en deux temps, trois mouvement...Une de ces collègue répond alors que pour se mesurer à lui, il fallait d'abord qu'il casse la gueule à Morano. Hommage à la pugnacité de notre cher Nadine dans les débats télévisés, ou tel un Pitt Bull, elle met tout son cœur dans ses convictions, à défaut d'y mettre sa réflexion analytique.

« On ne l'avait pas vue, elle n'a entendu que la fin de la discussion. Elle s'est énervée et a rétorqué : “Allez-y si vous voulez me casser la gueule, je vous en prie, je suis là.” »

Albane, l'employée, s'est alors vivement excusée. Une version que confirment deux témoins :

« Elle s'est très largement confondue en excuses. Elle a reconnu que, même en plaisantant, c'était une bêtise. Elle n'a pas du tout fait exprès pour entrer en conflit avec elle. »

Albane, déconcertée :

« Je m'attendais à ce que Mme Morano prenne un peu de hauteur et me dise : “Faites attention à votre langage.” C'est pourquoi j'ai réitéré mes excuses en disant que je ne voudrais vraiment pas perdre mon travail. »

Selon Albane, la ministre lui a alors répondu, hautaine et avec dédain :

« Je n'en ai rien à foutre mademoiselle ! Vous n'aviez qu'à mesurer vos propos. Si j'avais été votre employeur vous auriez été licenciée sur-le-champ ! »    Extrait de l'article de Rue 89 en lien :   link

http://www.rue89.com/2011/05/30/elle-plaisante-sur-morano-et-est-licenciee-pour-faute-grave-206765

Morano, adepte de vengeance personnelle, à alors demandé les coordonné d'un responsable, donné sa carte du ministère et déclaré ne pas vouloir que l'affaire en reste là.

Trois jours après, la jeune femme reçoit un courrier. Elle est convoquée au siège de Kookaï, à Paris le 21 avril. Arrivée à l'entretien :

« Je n'ai même pas pu m'expliquer. D'emblée, la direction m'a dit que mon comportement avait été inadmissible et que j'avais jeté l'opprobre sur le Printemps et la société Kookaï.

Ils ont seulement tenu compte de la version de Mme Morano et ont précisé que ça n'avait rien à voir avec l'importance de la cliente, ce dont je doute fortement. »

Le 27 avril, Albane est licenciée pour faute grave. Le courrier mentionne des « insultes et des injures » envers la ministre et stipule que l'employée a invectivé personnellement Nadine Morano depuis son stand Kookaï.

« La version rapportée dans la lettre de licenciement est complétement erronée. En aucun cas, il n'y a eu aucune attaque personnelle d'Albane envers Mme Morano. »

« Je ne pensais vraiment pas que ça en arriverait là. Lorsque je suis allé à l'entretien, la déléguée syndicale m'a dit qu'il y avait déjà eu des cas comme ça avec des blâmes ou des avertissements, mais jamais de licenciement. Pour elle, c'était une décision démesurée. »

Lorsque la presse a commencé à parler de cette histoire, la ministre a publié un communiqué où elle raconte qu'au moment de prendre sa pause, la vendeuse aurait crié :

« Il y a Nadine Morano dans le magasin, si quelqu'un veut aller lui casser la gueule. »

« Profondément choquée par cette interpellation menaçante, insultante et blessante“la ministre précise avoir ‘demandé des excuses à cette vendeuse en rappelant le droit au respect pour tout client, quel que soit son statut’.

Selon elle, l'employée a ‘reconnu la gravité de ses propos déplacés en présence de la directrice adjointe du Printemps et a fait part de ses excuses’.

‘Les faits en sont restés là’,insiste Nadine Morano, en précisant que le licenciement de la vendeuse ‘relève de la seule appréciation et de la seule responsabilité de son employeur’, avec lequel elle n'a eu ‘aucun contact’.

Donc, en gros, Morano nous raconte qu'elle n'a pas essayé de faire virer l'employée, de faire pression sur la direction de Kookaï, bien qu'elle ai demandé les coordonnées d'un responsable de l'enseigne et qu'elle ai dit, devant témoin, ne pas vouloir que l'affaire en reste là. Le tout sachant qu'un licenciement pour se genre de gaffe était du jamais vu...

Évidement, Nadine Morano n'allait pas dire la vérité, qu'elle est une femme qui s'est fait chier à monter les échelons du système ultra concurrentiel néolibéral et qu'elle estimait donc de par ce fait, ne pas devoir être traité comme un citoyen lambda, victime de vexations quotidiennes lambda...Et oui, Morano est une élue et le fait de se montrer au grand jour devant ses électeurs, se considérant comme d'une caste supérieure, ne lui fait pas une bonne publicité. Alors elle nie, mais le scandale est quand là. Une employé, victime de la frustration et du snobisme d'une ministre, à vu une simple maladresse, un gaffe, avoir des conséquences désastreuses pour elle; Non seulement elle a perdu son emploi, mais elle va avoir du mal à en trouver un autre dans cette branche, sachant qu'elle à un enfant à nourrir...Merci Nadine !

 


30 mai 2011 1 30 /05 /mai /2011 22:33

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Vidéo de Blakany : link

 

ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Le grand chantage.

La roue tourne...

Des stries dans la purée...

 

Et non, en France, il n'y a pas de pauvres, c'est notre cher ami Patrick Balkany, ami de notre président Sarkozy, qui s'en est vanté à la télé américaine.
Il leur à dit en gros, "oui, vous les américains, vous avez des pauvres en ville, mais nous, on leur a donné la possibilité de vivre dans des appartements à loyer modérés, dans des grands ensembles loin des centres villes. Ils y vivent très bien ! (c'est connu qu'il fait bon vivre dans les quartiers en France !) Certes, nous avons des SDF, mais ce sont des gens qui ont fait le choix de se marginaliser de la société, par goût..Il n'y a pas de misère en France ."

Oui, Mr Balkany à vraiment dit cela, il a dit que chez nous, on s'occupait bien, voire trop, des plus démunis...Des aides sociales pour les nécéssiteux et des centres d'hebergement pour les sans domicile fixe. Tout va bien pour Patrick Balkany ! Il est bien au chaud, à l'abri de ses réseaux logeant dans des tours d'ivoire, du haut desquelles, ils prennent des décisions pour nous, pour les gens vivant en banlieue et pour les SDF. Ces gens là, nos dirigeant, ne connaissent rien à nos vies, à tel points qu'ils osent clamer que les plus nécessiteux vivent bien actuellement, qu'il n'y a pas de problème de pauvreté en France. Comment être aussi ignorant alors qu'on dirige le pays, comment être aussi arrogant et insouciant face à la misère d'un si grand nombre ?

Ça ressemble aux années 1780, unje élite déconnectée de la réalité, des masses esclaves qui saisissent la moindre occasion de pouvoir lincher un privilégié, qui aurait été jeté aux orties par les siens...Les hordes viendront bientôt saisir leur dû par delà champs et villes et tout le monde finira par s'eccorcher de quelques ronces réservées pour le moment qu'à certains...

Comme dit sur la vidéo en lien au dessus, les 10% de chômeurs, le million de E=RMIste et les 85 000 SDF apprécieront...

30 mai 2011 1 30 /05 /mai /2011 10:43

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN

 

Je suis heureux !

T'as pas honte !

GUSTAVSON censuré !

Ecoute avant de beugler !

Assumer ses conneries.

La syntaxe

Papa, c'est quoi un GUSTAVSON ?

Le cigare aux bord des lèvres..

 

Depuis le début de la rédaction du Gustavson's blog, je le confesse, je me suis servi de vous, pour le bien de mes élucubrations scabreuses, graveleuses et fécaloïdes, sur des sujets tant quotidiens et personnels, que généralistes, politiques ou à la con...

Si j'avais voulu me faire des amis avec ces quelques publications, ça se saurait ! En fait c'est tout l'inverse qui s'est passé. Personne est à l'abri, même les gens les plus proches de moi. Une phrase de travers, un mot mal sorti, une pensée à la con et hop, un article est pondu. Du coups vous vous sentez visés, vous vous insurgez de voire vos propos déformés et vous êtes fâché..Quoi de plus normal, quoi de plus banal...

Alors ce GUSTAVSON, le problème, c'est qu'il est capable de se fâcher avec la terre entière, pour ne serais-ce qu'un article pondu, c'est un compulsif, un impulsif, un psychosé, un gros con de frustré, qui se défoule en écrivant de la merde sur le net... GUSTAVSON, il est derrière son ordi, sur scène en concert, parfois dans la rue. GUSTAVSON, il se nourri de yaourt géant dans lesquelles il trempé des frites de 3m, il porte un slip sale sur la tête et il se chie dessus en guise d'anti-moustiques. GUSTAVSON est un personnage fictif, au service duquel je suis. Vous ne le saviez pas, mais quand vous êtes avec moi, que je suis gentil, poli, agréable, tous vos mots sont disséqués, analysés, étudiés et dès que quelque chose d’intéressant sort de vos conversations, de vos geste, de vos attitudes, ceci est directement répété à GUSTAVSON, qui s'en va narrer ceci dans un article du Gustavson's Blog. 

Chaque personne de mon entourage est donc une victime potentielle de mes avis et mes opinions, exacerbées par ce double que je me suis crée, un double qui ne concède rien, un double qui n'éprouve ni honte, ni gêne, un double défouloir de ma vie frustrée par les blocages civilisationnels qu'elle subit au quotidien. Ma vie, comme la votre, est soumise à des normes, des règles, des façons de se comporter en société. Comme vous, cela me frustre, m'énerve (consciemment ou inconsciemment), m'inhibe, me rend con, cloisonné, cloisonnant, angoissé, angoissant...Alors, pour lâcher un peu de lest, me détendre, me défouler, dire ce que je pense vraiment, d'une manière exagérée, compensant quelque peu l'exagération inverse à mes opinions, représentant la pensée commune admise, j'ai crée GUSTAVSON.

Parfois, GUSTAVSON apparait même dans la vraie vie, une fois que mes politesses ne suffisent plus, que l’agression à mon égard se fait trop flagrante, là, GUSTAVSON arrive et vous vous en prenez plein la gueule (mais ce ne sont que des mots...)..Heureusement, ça n'arrive presque jamais. GUSTAVSON est en moi et hors de moi et vous aussi, vous avez votre propre GUSTAVSON, mais vous ne lui laissez pas de place, vous ne lui laissez pas la parole, la plupart du temps...

Moi je laisse la parole à GUSTAVSON, j'ai libéré sa parole, du coup s, il en profite allègrement...Après on est ni obligé de le lire, ni de l'écouter..

29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 10:32

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Amour ?

Pourquoi suis-je énervé ?

L'exactitude subjective

 

En voilà une phrase que j'ai entendu à maintes reprises, "de toute façon, j'aime pas les blonds"...Les gens disent cela comme s'il s'agissait d'une boutade anodine. Pour eux, cela en est une, ils ne voient pas plus loin la réelle signification de ces mots et leur portée réelle, si l'on s'en tien à ce que ces mots veulent réellement dire. Les gens disent ça, comme s'ils disaient,, "de toute façon, j'aime pas les frites...". La différence entre les frites et les blonds, réside dans le fait que les blonds ne sont pas des morceaux de patate frits, que l'on achète au rayon surgelé du supermarché. On ne choisi pas un blond, un brun, un noir un blanc, comme on pourrait hésiter entre deux marques de boites de thon au naturel...

Oui, je sais bien que les blonds sont bien moins victimes de discrimination que les noirs, les arabes, les musulmans, dans la société française. Hélas, je trouverais plus facilement du travail, je rentrerais plus facilement en boite, je trouverais plus facilement un logement, juste à cause de la couleur de ma peau et de mes cheveux dans une moindre mesure...Jusqu'à ce que la société devienne moins conne et cloisonnante, que les votes pour des partis comme le FN baissent et qu'enfin, on cesse d'agir et d’appréhender les personnes selon des critères objectifs inhérents à leur corps, à leur culture, qu'elles ne peuvent changer...A part pour Michael Jackson, il est difficile d'être noire et de se transformer en blanc, que je sache. Par contre on peut aisément juger une personne selon son degré de connerie humaine, critère relatif à la personne qui jugera les personnes avec qui elle s'entendra ou pas...Lien : Le fascisme

Mais quand j’entends cette phrase me concernant directement ou indirectement, "de toute façon, j'aime pas les blonds", même si c'est dit sur le ton de la plaisanterie et que la personne qui déclame cette phrase stupide ne pense pas un mal, j'entends une sorte de racisme, comme si elle avait dit, "de toute façon, j'aime pas les noirs...". Il se trouve qu'un jour j'étais confronter directement à cette situation. Je me baladais avec un pote noir, des filles sont passées en face de nous, mon pote s'est retourné et a alpaguer les jeunes filles en leur disant, "hey les filles, comment vous le trouvez mon pote ?", parce qu'on devait parler des relations hommes femmes à ce moment là...Outre le fait que ce pote s'est comporté ce jour là, d'une manière bien relou, je fus étonné de la réponse des jeunes filles, qui se sont attardées à répondre à une requête aussi stupide...Donc elle ont répondu cette phrase fatidique en riant, "non j'aime pas les blonds". Alors je me tourne vers mon ami qui riait et lui dit, "qu'aurais tu pensé si elle avaient dit, de toute façon j'aime pas les noirs...". Du coups il n'a plus rit.

Je veux bien qu'on me dise que je suis trop con, trop bête, trop tout ce qu'on veux, tant que cela se fait sur des critère subjectifs et non objectifs, inhérents à ma biologie interne. Si je suis blond, ça n'est pas de ma faute, comme ça n'est pas plus la faute de quelqu'un s'il est noir, a les cheveux brun, ou roux...Par contre, une personne n'est pas condamné à sortir des propos racistes sans s'en rendre compte, ça n'est pas une fatalité...Si je me fais appeler Gustavson, c'est justement pour exagérer sur le fait que suis blond, en en mettant une bonne dose pour éviter que les autres me fassent chier avec ça. Je ne suis pas fier d'être blond, je n'en ai pas honte non pus, je suis blond, c'est comme ça. On peut blaguer sur tout, même sur la couleur de peau ou de cheveux, ça n'est pas ça qui me dérange, on peut vanner les blonds, ou les noirs...Il y a de plus ou moins bonnes plaisanteries, mais ça ne reste que des plaisanteries. Mais quand j'entends des personnes dire, "de toute façon, je n'aime pas les blonds", souvent, pas toujours, je n'entends pas le ton de la plaisanterie, mais un ton plus sérieux relatant des goûts esthétiques personnels. Là ça m'énerve plus et ce ton là est assez généralisé dans la société...Ah je préfère esthétiquement les personnes à la peau bronzée, à la peau claire, les personnes aux cheveux blonds, aux cheveux bruns. Même si c'est moins grave parce que ça va vachement moins loin, ces réflexions se font sur la base de critères communs avec le nazisme...Donc sans s'en rendre compte, on est, ou on a tous été un peu nazi. Personnellement, il n'est pas de mon goût de fonctionner selon des critères nazis, donc j'ai arrêté de me faire ce type de réflexion stupide.

Hélas, quand une personne nous plait, elle nous plait en premier lieu selon des critères physiques, après on découvre le reste. J'aimerais juste que ces critères physiques ne se basent pas autant sur des appartenances de race, que c'est le cas actuellement. On peut trouver belle, tout type de personnes, qu'importe son origine. On peut aussi trouver moche tout type de personne, qu'importe son origine. Mais ça n'est pas l'origine de la personne qui détermine si elle est belle esthétiquement, selon nos goûts subjectifs, relatifs à nous. Quand on dit "de toute façon, je n'aime pas les blonds", on s'interdit de trouver beau esthétiquement tous les blonds, alors qu'on ne les a pas tous vu et qu'ils en existe peut-être qui nous plairont. Donc cette phrase est stupide et dans la vie, il est toujours de bon ton d'éviter les phrases stupides toutes faites.

29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 09:16

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Les fautes d'orthographe

Culture, économie et complexes

Orthonormé

la culture. (Le texte de chanson)

Conservatoire.

Art et imitation

 

Ça faisait longtemps maintenant que je ne m'étais pas pris une remarque là dessus, alors je me suis bêtement dit que j'avais du résoudre naturellement le problème, mais non, on ma encore reproché mes fautes de syntaxe, dans un commentaire du blog. Alors, je me suis remis en question. Ne saurais-je pas parler et donc écrire, dans la langue de Molière, un mec qui est mort il y a quelques siècles et dont le français, dont on se réfère, ne ressemble plus vraiment à l'évolution actuelle de notre langue nationale...?

Il y en a qui s'insurgent de la montée en flèche du langage SMS, du fait que les jeunes parlent comme des chartiers...Ils aiment la belle langue, les mots choisis...Et bien, d'ailleurs, on écris pas "et bien", en langage soutenu et si j'ai décidé de l'écrire au début de ma phrase, c'est que j'ai pris le parti de me foutre des règles culturelles à la con des bourges coincés du cul, qui formatent la culture en discréditant tout ce qui ne correspond pas à leurs références élitistes...Donc..."ET bien" qu'ils restent collectionneurs de mots anciens, comme on collectionne les vieux livres reliés à la main et qu'ils laissent ceux qui s'en foutent, s'en foutre et avoir des lectures en format de poche, en langage sms, ou même écrites à la merde de mon cul...

Alors la critique la plus commune, loin devant la critique de mes fautes d'orthographe, de grammaire, de concordance de temps et de conjugaison, est celle récurrente qui est faite par rapport à mes fautes de syntaxes. Et bien voilà, je l'avoue sans honte et sans vergogne devant vous et pourtant on m'en a souvent parler, sans vraiment m'expliquer, ou sans vraiment que je ne comprenne, de la syntaxe...Mais voilà, je ne sais pas ce que c'est. Je vous assure, je n'ai aucune foutu idée de ce qu'est ce truc, la syntaxe. Certains trouveront honteux le fait que j'écrive quand même, certains s'en foutront comme moi..Alors pour résoudre ce problème, plusieurs solutions.

La première est de m'envoyer un commentaire pour m'expliquer ce qu'est la syntaxe, avant que j'aille chercher la définition sur le net, parce que j'ai un minimum de curiosité quand même et parceque ce nouveau commentaire à remis cette idée dans ma cervelle.

La deuxième est que les lecteurs outrés par mes fautes de syntaxe, de style ou de balai dans le cul, arrêtent de me lire aussi sec, car je m'en voudrais de parasiter leur quiétude de référencement et de critérisation du bien et du mal culturel...

La troisième est de m'écrire un bel article dont l'argumentation ira plus loin que, "vos fautes sont dignes d'un enfant de sixième...", pour étayer leur point de vue, qui ne vaut certainement pas moins que le mien.

Il existe certainement des tas d'autres solutions plus intéressantes que le simple fait de me dire que je fais des fautes de syntaxe. Cela pourrait consister au fait de m'envoyer des sortes de rapports d'erreurs, pour me signaler les fautes, de tous types, que je fais. On pourrais y citer par exemple, les fautes contenues dans cet article...Histoire que je progresse. Ça ne vous demandera pas beaucoup plus de temps que celui que vous prenez à m'expliquer que je fais des fautes de syntaxe, sans jamais préciser lesquelles...Et si vous ne voulez pas prendre plus de temps, ne vous donnez pas la peine de me signaler ces fautes, ou si.. Faites le, on fera un concours du plus beau commentaire à la con...Tien d'ailleurs, j'en ai déjà de bien sympa, les meilleurs étant les commentaires de l'article "ragga anti homophobe" en lien ici... Ragga anti-homophobe la chanson enn écoute

Je vous ferais un best off bientôt. D'ailleurs, je ferais aussi un best off de mes plus belles fautes, dont celles que j'ai faites il y a quelques jours, pensant qu'on écrivais "génommé" alors qu'il fallait écrire "j'ai nommé"..Une faute que j'ai faite toute ma vie avant qu'on me la signale en m'expliquant la bonne orthographe...Et c'est magique parce que du coups, je ne la ferais plus, alors un grand merci à Pari Drakkar, qui m'a signaler cette faute grossière ;)

Article concerné : Pari Drakkar fait son cinéma...

Je vous explique, j'étais dans un collège de merde et le collège, c'est le moment ou on apprend les règles d'écriture en français, dont certainement la syntaxe...Je n'ai pratiquement pas eu de cours de français durant ces années là, tous les profs de cette matière étant soit en dépression, soit en incapacité de faire cour dans un bordel absolu en classe...Du coups, je ne sais pas du tout ce qu'est un pronom relatif, une conjonction de subordination ou toutes les conneries du genre...Je connais ces mots, parce que j'ai du vaguement les entendre quelque part, mais je n'ai aucune idée de ce qu'ils veulent dire ou référencer, parce que quand on étudie dans les collèges pour pauvres, ou seule les classes européennes suivent des cours convenables, il n'est pas aisé de faire de brillantes études et de ne pas faire l'impasse sur quelques règles de base.. Alors par miracle, malgré le fait de ne pas connaître ces quelques notions, malgré le fait que mes parents, qui ne sont pas profs et n'ont pas fait d'études, n'aient pas vraiment pu m'aider à faire mes devoirs étant jeune, j'ai quand même fait des études et ai eu le gout de l'écriture. Alors mon écriture à des défauts, il y en a que je subit, d'autres que je cultive..Tout ceci rend ce que je fais un petit peu original et l'originalité n'a jamais été du goût de tout le monde, surtout de ceux qui se complaisent dans le modélisme culturel et artistique, qui rend la culture si peu accessible d'une majorité et si chiante bien trop souvent...

Moi j'écris, mais je ne lis que très rarement et jamais des trucs qui font plus de 40 pages d'affilées, ça n'est pas que je dis qu'il ne faut pas lire, mais pour l'instant, ça n'est vraiment pas mon truc. Peut-être que quand je lirais un peu plus, je ferais moins de fautes de syntaxes, qui sait...Peut-être que je tendrais plus à imiter, ou au moins à être influencé par les normes littéraires en vigueur...Pour la musique c'est pareil, j'en fais, mais j'en écoute jamais. Les trois quarts des trucs que j'écoute, c'est moi en Gustavson et mes deux groupes Pari Drakkar et Belle Courante...On fait de la création, on invente, on tente d'innover, comme ce que je tente de faire en écriture...C'est ça qui me plais, la création, d'autres préfèrent le modélisme et ça n'est pas plus mal, à chacun son truc.

Voilà pour ces quelques explications, n'hésitez pas à me défoncer en commentaire, me faire défoncer, moi j'aime ça, c'est mon côté Sado Maso...Plus sérieusement, si il y en a un ou une qui s'y connait et qui peut m'aider à me perfectionner dans règles de la langue française, lâchez-vous ! Il est vrai qu'au rythme ou je débite mes allitération fécales, je n'ai pas toujours le temps de faire gaffe, il faudrait que j'embauche un orthographieur...

28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 10:08

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Une nuit à Paris

 

 

Solitude affective
revient à mes pensée
bien normal direz vous
seul on pense plus aux autres
on pense à ce qui manque malgré tout
ce qui nous reste comme rancœur
de jalouser nos vis à vis
qui voient réconforter leurs pleurs
par quelques bons soutiens amis.

canapé, micro onde
moutons et sinistrose
appartement puant
vide de toute bonne humeur
cafard et mites alimentaires
seule compagnie
des slips géants
qui s'accumulent en sédiment
tout fait parti des meubles
je reste là, je reste seul


et l'on traîne dans sa merde
entrainant lendemains
et les jours de la semaine
en font bien des vacances
avant de rentrer chez soit
pour gagner le droit de vivre
de longs week end interminables
penser à ce que l'on a pas
au fin fond de ce qu'on a
qui ne nous satisfait pas
la peur du risque
suffit à me faire rien faire
et rester pourrir là
à l'abri de sa misère
qui dicte ici sa loi
qui avec le temps désespère
qui avec le temps finira
par devenir la terre entière
par devenir le seul monde qu'on voit

Des rêves au paradis
je voudrais pouvoir y aller
je voudrais contrôler ça
même en me tirant une balle
je ne le contrôlerais pas

Alors on agite les canard Wc
un semblant de ménage
sans même aller le boire
sans aller le manger
on récurera les chiottes
et on chiera après
et ça sera le seul suspens
de cette stupide journée
qui appellera toutes celles d'après


Motivation sinistre
qui se démarque de la sclérose
qu'on aurait autrement
rien de neuf sous le soleil
hors des volets fermés
rien n'y filtre dehors
on reste cloitré là
sans un mouvement frémir
sur pause, on peste sans agir...


--
VERONESE Frédéric

28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 09:44

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Je marche dans la rue
pour aller au travail
je mate le calendrier
voire les vacances qui arrivent
je m'ennuie, je m'envoie
des tendinites cosmiques
des fractures du canal carpien
pour me foutre en arrêt maladie
mater la télé à la fin
devient le but des mes insomnies

Je marchais dans la rue
en allant faire mes courses
angoisse du ticket de caisse
des fins de mois difficiles
de l'emprunt à la banque
pour vivre comme tout le monde
et comme tout le monde je galère
en tentant de planquer mes nerfs
je voudrais jeter le cadis
et la presse du boulot
sur la belle infamie
qui fait marcher les veaux
qui fait tomber les glands
du chêne, s'enchaînent
déchaînent leur volonté de suivre
ce qui les mènent à leur peine
leur belle façon de vivre qui suce leur sang
jusqu'à ce que plus rien ne saigne

Je prendrais bien le pas
de ceux qui me font bosser
que les suces boules remercient
et leur léchant la bite
pour quelques privilèges
de dénoncer les autres
qui ne sucent pas les bites
des patrons du village
cherchant la hiérarchie
pour qu'elle les remette à la page...

Je marche dans la rue
pour aller au travail
voire tous ces gens connus
qui chaque jour que dieu fait m'enragent
un jour je ne rentrerais plus
ayant crevé d'un bel ulcère
je ne marcherais plus suspendu
la tête accrochée à mes nerfs...

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