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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 13:04

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ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

ENTRE 4 MURS

L'important c'est pas la cuite, mais l’abrutissage

Les enfants sociaux

 

On peut faire des conneries, on peut accumuler les conneries, "que celui qui n'a jamais fait de connerie me jette la première pierre", comme on dit. On cumule, on accumule, jusqu'à devenir meilleur et faire moins de conneries.

Alors la connerie, c'est subjectif, certes, mais il y a des conneries universelles, celles qui relèvent de l'éloignement profond de toute raison humaine.

Après, des conneries, on est pas toujours obligé de refaire les mêmes sans cesse, les conneries ne sont pas une fatalité. Pourtant je constate que certaines personnes sont en reproduction de conneries identiques. On croit qu'elles ne feront plus telle ou telle connerie et quand on ne s'y attend plus, elles recommencent..Pourquoi ?

Et bien c'est simple comme une merde qui reste collé à nos poils de cul. Lorsque l'on assume pas ses conneries, qu'on veut vite les oublier, au lieu de tenter d'en solutionner les causes, qui ont amenées aux conséquences se révélant comme les conneries que l'on a faites, on finit toujours par refaire les mêmes, comme si on était programmé pour ça.

Alors au bout d'un moment, il faut arrêter de faire l'autruche et assumer ses actes, ses comportements, ses conneries, pour comprendre d’où elles viennent et arrêter de se complaire dedans. Il faut aller de l'avant, progresser, devenir un homme !

Assumer ses conneries est le premier pas vers la sagesse, si sagesse il doit y avoir un jour. Quand on fait une connerie une fois, ça n'est pas la peine d'en rajouter, la personne à déjà assez honte comme ça. Elle a su tirer les leçons de sa connerie, pour ne pas la reproduire à l'identique, quelques jours, quelques semaines ou quelques mois plus tard. Du moins, c'est ce que l'on croit, jusqu'à ce que l'on constate que la même connerie se reproduit, parfois au moment ou l'on ne croyait plus à son retour...A ce moment là, selon moi, il convient d'en remettre une couche, parce que visiblement, la première couche n'a pas suffit.

Il ne s'agit pas ici de s'acharner pour enfoncer la personne, mais plutôt, d'insister sur un problème qu'elle a du mal à résoudre, problème qui a malheureusement, des conséquences néfastes sur son entourage, qui lui n'a pas l'obligation de devoir assumer ces problèmes là. L'entourage a déjà ses propres problèmes, dont il ne fait pas forcément profiter les autres, en leur créant d'autres problèmes, en plus de ceux qu'ils ont déjà à gérer. La moindre des choses pour eux, est de pointer du doigt les problèmes des autres qu'ils ont a subir, d'insister dessus, s'ils ne cautionnent pas le fait qu'ils les subissent, alors que rien ne le légitime. Non seulement cela pourra aider ceux qui reproduisent toujours les mêmes conneries, à prendre conscience de leurs problèmes, mais ça permettra également à ceux qui subissent les problèmes des autres, de ne pas les subir en silence, sans faire valoir le fait qu'il est illégitime qu'ils doivent les subir et qu'ils n'en sont en rien obligés.

Assumer ses conneries est le premier pas vers leur solutionnement...Ne pas les assumer est le premier pas vers la reproduction des mêmes conneries...

24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 09:24

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ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

Semer le désordre permet de réfléchir...

L'important c'est pas la cuite, mais l’abrutissage

Les enfants sociaux

 

C'est l'histoire d'un goute d'eau, une goute d'eau qui fit déborder le vase de nos inconsciences, une goute d'eau révélatrice d'absurdité des dépendances imposées, une goute d'eau qui se rajoutait à toutes les autres goutes d'eau, que l'on a versé sur nous et qui nous ont empli de rancoeurs.

 

C'est l'histoire d'une goute d'eau qui est venu apporter sa contribution pour remplir une flaque et d'autres goutes d'eau arrivèrent pour que la flaque innonda les alentours et devint un lac, qui généra des rivières et des fleuves, qui remplirent à leur tour les océans, qui débordèrent alors sur les terres, jusque tout soit enfin noyé et que notre atlantide sinistre finisse sinistrement comme l'ancienne, dont on s'était fait une montagne de bons sentiments.

 

Des goutes d'eau tombent et c'est la pluie qui recouvrent les gens qui se doraient au soleil. Maintenant ils sont trempés parce qu'il leur pisse dessus, les vannes sont ouvertes et l'eau se déverse sur leur gueule pour les réveiller. C'est finit de dormir les amis, maintenant il faudra vous lever sinon vous allez attrapper la mort !

 

Les goutes d'eau tombent au goute à goute, en devenant autre chose, elles s'accumulent, jusqu'à se voire plus que comme une petite goute. Des goutes ensemble, tombant au même endroit, pourraient faire l'effet d'un crachat à la gueule multiplié par cent, par mille, comme un tsunami de mollards qui viendrait s'abattre sur un système établit, l'ébranlant de nos viscosités accumulées, à trop garder nos glaires pour nous.

 

Une goute d'eau existe, elle n'arrive jamais seule...Ensemble, les goutes font la pluie, les lacs et nous font vivre. Nous dépendons des goutes d'eau et les goutes d'eau peuvent tout changer, ne l'oublions pas...

23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 15:48

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ARTICLE SUR LE SUJET EN LIEN :

Les enfants sociaux

Bouteille

 

Parfois, il arrive que l'on puisse faire d'un mal, un bien. C'est ce qui m'arrive en ce moment, victime d'une infection due à un insecte à la con, je dois me gaver d'une dose bien conséquente d'antibiotiques durant un mois. Tenant assez à la vie pour mettre toutes les chances de mon côté, afin de m'éviter toute possibilité de cirrhose foudroyante, j'ai du me résoudre à arrêter de boire de l'alcool, durant ce laps de temps. Dure dure, en plein mois de mai, avec des conditions estivales propices aux soirées et aux barbecues. Et c'est là que je me suis rendu compte, que cela faisait assez longtemps, que je n'avait pas passé une soirée festive, sans picoler.

Alors ce week-end, je suis allé à une fête et je n'ai pas bu, malgré les nombreuses propositions que m'ont faites des gens qui ne veulent que mon bien et qui étaient quelques peu désappointés, que je ne me mette pas à poil en gueulant, comme d'habitude (j'exagère un peu...). En ne buvant pas, je me suis amusé quand même, j'ai vu des gens sympas et j'ai passé une bonne soirée, entouré de gens bourrés, qui pour une fois, n'étaient pas dans le même état que moi.

Mais voilà, plus tard, une fois rentré chez moi et endormi depuis un moment, lorsque l'on m’appela sur mon portable pour me demander de calmer un pote bourré, que j'avais amené à la soirée, j'ai pu constater les méfaits de l’alcool. L'alcool n'est pas une cause de la connerie des gens, mais une conséquence. Ceci dit, le fait de ne pas boire augmente considérablement les chances de ne pas faire chier les autres avec sa connerie personnelle. Là ça n'était pas le cas, ce jeune homme, comme il avait bu, à cru bon de faire profiter l'assemblée de ses psychoses et a foutu le bordel dans une ambiance qui était pourtant bien sympathique, au moment ou je suis parti de cette fête.

Comme il a finit par partir de la soirée et qu'il s'est retrouvé seul, il est passé par son portable pour m’exprimer tout son désappointement, sept à huit fois dans la nuit, pour m'expliquer diverses choses sympathiques sur son entourage. Il m'a même appelé en me confondant avec quelqu'un d'autre. Bref, un vrai petit festival !

Alors c'est sure que quand on boit régulièrement de grandes quantités d'alcool, on augmente ses chances d'être de plus en plus psychosé et de rendre ses crises de plus en plus remarquables, jusqu'à ce qu'elles soient trop remarquées par des gens ou des institutions, dont il vaut mieux ne pas se faire remarquer. Une cuite ça arrive, une cuite par semaine ça devient une habitude, une cuite par jour ça devient plus pathologique. L'important c'est pas la cuite, mais l'abrutissage.

23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 13:47

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Les paquets de clopes qui font peur...

Le retour du pouvoir d'achat

Fukushima..L'opinion d'un scientifique

 

Dans la série des cache misères politico médiatiques, je vous présente le débat contre la suppression de la signalisation des radars d'autoroute. Nouvelle stratégie électoraliste de notre ami Nicolas Sarkozy, le recentrage du débat pré campagne électoral se fait aujourd'hui autour du sujet de la sécurité routière. Et oui, ce domaine était encore bien le seul, ou les chiffres du gouvernement de droite actuel, n'étaient pas trop mauvais. Mais voilà, depuis quelques mois, les accidents mortels sur la route repartent à la hausse et le gouvernement se devait de réagir, pour avoir au moins un argument en sa faveur lors des débats prochains, ou le bilan de la politique de Sarkozy sera forcément évoqué.

Et c'est toujours la même chose, pendant que l'on parle de ça, on ne parle pas d'autres choses. Les médias ont du se dire que l'affaire DSK allait s'épuiser dans l'attention des masses populaires et qu'il fallait rapidement trouver autre chose. Alors, aidé du gouvernement qui lança une mesure dont il savait qu'elle allait faire parler et râler, les gros beaufs d'automobilistes, (sachant que les beaufs sont nombreux, que beaucoup sont en plus automobilistes), il paraissait évident que la suppression des panneaux de signalisation des radars automatiques, allait faire du bruit et être allègrement couverte par les médias. Et puis, si ça n'occupe pas tous les écrans et les pages de journaux, on pourra toujours compléter par un peu de Roland Garros.

Pour revenir au fond de ce débat insipide, je dirais que pour faire qu'il y ai moins d'accident sur la route, il faudrait commencer par brider les moteurs des voitures que l'on fabrique. C'est quand même fou que les routes ont des limitations de vitesse et qu'on vende des voitures qui n'en ont pas. De la même manière, il est fou qu'on ne rende pas obligatoire le fait de devoir souffler dans un alcotest avant de démarrer sa voiture. Mais voilà, le lobby des industries automobiles est très puissant et ne permet pas aux gouvernements de faire passer de telles mesures, tout en collusion qu'il est avec ses membres les plus influents.

Dans cette affaire, il y a aussi les gros beaufs qui râlent. Eux, ils aiment bien rouler vite pour faire les cake avec leur caisse de Jacky. Il se foutent bien des morts qui sont dus à la vitesse sur la route, en plus de la pollution supplémentaire, que le fait de rouler vite apporte à notre atmosphère...Ils privilégient leur petit plaisir de tailler la route en toute inconscience. Evidemment, quand on veut interdire les détecteurs de radars et les panneaux les signalant avant de passer à côté, cela équivaut pour eux au fait qu'ils devront se conformer aux limitations de vitesse tout le long de leur trajet et qu'ils courront perpétuellement le risque de se faire choper en cas de dépassement.

Tout ceci arrange aussi l'état, qui pourra se faire plus de blé, en chopant plus de personnes en excès de vitesse. Est-ce que tout ceci fera diminuer le nombre de morts sur la route ? Surement, si les gens osent moins rouler comme des tarés, mais le but du gouvernement ici, n'est pas de sauver des vies, mais de sauver ses chiffres concernant la sécurité routière...

Voilà, ici, les gros beaufs d'automobilistes, qui ne sont pas foutus de respecter les limitations de vitesse sur la route, sont les dindons de la farce. Étant trop cons pour se conformer seul à une règle faisant appel au bon sens de la raison humaine, il aurait fallu les forcer à le faire en amont, en bridant les moteurs des voitures qu'ils conduisent. Mais l'état aura préféré ici, la répression lucrative, à la prévention en la matière. C'est un peu un principe dans les politiques néolibérales...Ce principe fonctionne également dans bien d'autres domaines...On sait que les gens font, on les laisse faire et ensuite on les chope quand ça rapporte...Malin !

22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 22:51

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ENTRE 4 MURS

Les gens en retard...

Semer le désordre permet de réfléchir...

LES GROUPEMENTS

 

Il y a des gens qui sont matures dans certains domaines, et ont une attitude très infantiles dans d'autres. Il y a des gens qui sont doués dans certains domaines et carrément stupides dans d'autres. Pour ma part, je suis plutôt bon pour coucher mes pensées sur du papier, puissent-elles être stupides, mais je ne suis pas très fort en orthographe, syntaxe et autres règles techniques à respecter dans l'écriture commune...Je sais faire des gâteaux, mais je suis un gros blaireau en bricolage, à tel point qu'il me faut facilement deux oui trois jours pour changer une roue de vélo...

Bref, chacun ses qualités et ses défauts, ses spécialités et ses tares...Mais il y a certains domaines, ou le manque de connaissances, de techniques, d'expériences ou de savoir faire, peuvent être plus handicapant que d'autres. L'un de ces domaine est la sociabilité. La société est un lieu central de nos petites existences. Se socialiser permet de pouvoir communiquer et entrer en interaction avec la plupart de nos congénères humains (sauf quelques cas spécifiques comme les ermites ou les moines...). Et puis, il y en a qui se socialisent, mènent une vie dans la société, mais ne sont pas très doués pour ça. Ils ont des rapports humains, des amis, des relations, mais ils ne savent pas très bien gérer tout cela. Du coups ils font plein de conneries dans ce domaine et cela les handicapent dans tout ce qui concerne la vie en société, c'est à dire bien des choses...

Alors ils sont souvent bons, forts, doués, intelligents, créatifs dans d'autres secteurs, mais dans la vie sociale, ils sont comme des enfants. Personne ne maîtrise totalement ses relations sociales, sa vie en société, mais on peut en connaître quelque peu certaines spécificités. Moins l'on en connait, plus on est amené à se comporter socialement de manière infantile. Alors on voit bien qu'il y a des choses à ne pas faire, des comportements à ne pas avoir, des attitudes que l'on ne devrait pas subir, mais comme on ne maîtrise pas bien les tenants et les aboutissants de telle ou telle posture, on s'abstient, on ne fait rien, on subit. Alors on accumule les frustrations. La frustration de ne pas contrôler ses relations, de ne pas se contrôler soit même dans son interaction avec les autres, d'être dans l'inconnu. Ceci exacerbe peurs et angoisses, toujours mauvaises conseillères, que ça soit dans ce domaine ou ailleurs...

On peut difficilement vivre en dehos de la société, de toutes relations sociales, alors on tente de compenser ses peurs, dues à cette certaine incompétence, par quelques additifs virtuels. La droque est un court moyen pour parvenir ici, à une certaines sereinement illusoire. Comme on ne peut se détâcher du monde et qu'on a besoin de le faire, alors on se drogue chaque jours, tout le temps, car une fois que l'on a connu ce moyen de s'éloigner de ses angoisses, on peut difficilement s'en détâcher pour voire la réalité en face, celle qui nous montre dans l'enfance d'un domaine central de la vie. Cet état m'est arrivé, puis j'ai grandis. Mais pour grandir, j'ai du affronter une certaine vérité, une vérité que l'on ne connaîtra jamais complétement, qui sera toujours invérifiable, mais dont la connaissance sporadique, fait mal au cul lorsque l'on prend conscience de certaines choses.

Pour vous dire franchement, je pense que peu de gens atteindront un jour le chemin qui les mènera vers une certaine vérité sur eux même. Ils resteront dans la volonté de faire l'autruche, fuyant ce moment ou leur égo en prendra un coups, prenant conscience qu'ils ont vécu si longtemps dans une absurdité qu'ils pensaient rationnelle. Mais il y en a qui donnent mieux le change que d'autres. Ces derniers, à la première trop grosse cuite devant des inconnus, feront de multiples conneries, qui peuvent parfois s'avérer grave dans leurs conséquences sur la vie future de ces individus.

Nous sommes tous des enfants sociaux, car nous allons tous continuer à grandir dans ce domaine. Nous grandissons plus ou moins vite, mais on peut toujours continuer à apprendre de nouvelles choses sur nous et notre interaction avec les autres.

22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 12:29

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ARTICLES SUR LE SUJET EN LIEN :

Le génocide des mites alimentaires

Semer le désordre permet de réfléchir...

LES GROUPEMENTS

 

Les gens en retard, tout le monde en connait. On l'a tous été soit même, en retard, mais pas tout le temps, pas de manière récurrente, pas toujours avec les mêmes personnes.

Oui, parce que les gens toujours en retard, ne le sont jamais dans toutes les situations, ou avec toutes les personnes. Demandez à quelqu'un que vous savez toujours en retard avec vous, d'être honnête et de vous citer quelques exemples de rendez-vous ou il n'arrive pas, ou moins en retard. Il y en aura au moins un, le taf...

Alors, si quelqu'un arrive à l'heure au taf, il peut arriver à l'heure à un rendez-vous avec vous, le principe est le même, arriver à l'heure. Attention, je suis loin d'être un tortionnaire, j'admets avec grande facilité, que l'on puisse être en retard de 5 ou 10 minutes à un rendez-vous avec moi. J'admets aussi qu’exceptionnellement, on soit en retard de plus de temps et que l'on s'en excuse. Des imprévus arrivent et moi aussi, j'ai pu en être victime, donc je comprends tout à fait. Par contre, lorsque les retards ne sont pas dus à des imprévus, que la personne qui devait me rejoindre n'a juste pas pensé à regarder l'heure, parce qu’elle a fait de la guitarre, ses courses et que cela arrive systématiquement, là ça m'énerve...

Personnellement, quand j'ai rendez-vous avec quelqu'un, je pense à la personne qui pourrait m'attendre et par respect pour elle, je fais tout mon possible pour que ça n'arrive pas. Après, on est pas à la minute près, mais passé 15 minutes, ça devient chiant, passé une demi heure, c'et vraiment lourd et ensuite, on a juste nvie de rester pour défoncer la gueule de la personne qui arrive systématiquement en retard pour des raisons à la con...

Les gens en retard ne sont pas victimes d'une pathologie,, c'est juste qu'ils n'ont pas un sens aigu du respect des personne qu'ils côtoient, en matière de retard
La plupart du temps, les gens systématiquement en retard le sont, parce qu'ils ont fait un truc pour eux, , leur bon plaisir, leur amusement, leur confort personnel, sans trop penser à autre chose et notamment, à ceux qui perdent leur temps à les attendre, dans un lieu ou les gens en retard leur avait dit qu'ils seraient, bien avant qu'ils n'y soient en réalité. Il y a donc ici tromperie et confort personnele au détriment de celui des autres...Belle attitude !

Les gens systématiquement en retard sont juste égoïstes à ce niveau, ça n'est pas plus compliqué que ça. La preuve en est qu'eux même, rechigneraient à attendre une autre personne en retard, parce qu'ils n'ont pas que ça à foutre...Ceci dit, cette situation n'arrive que très rarement, car les gens en retard s'arrangent toujours pour être plus en retard que les autres.

Les gens en retard ont un comportement d'égoïste de gens qui croient que tout leur est du, mais nous ne sommes pas leurs esclaves ! Réveillons nous !

Attention, ces gens en retard que je connais, je les aime bien, je ne parle ici que du sujet du retard. Ils ont souvent bien d'autres qualité, mais j'ai décidé de ne plus poireauter pour leur connerie et de ne plus subir leur retards, qui ne concernent qu'eux et dont rien ne légitime le fait que je doivent les subir. Ils se comporteront avec tous les autres comme il leur conviendra, maintenant ils sauront que je ne me laisserais plus faire et qu'après 10 à 15 minutes d'attente, selon mon humeur et mon bon plaisir, ils seront certains de ne plus me trouver à un rendez-vous que nous nous serions fixé.

Quand on demande à ces gens pourquoi ils sont en retard, ils nous soutiennent qu'ils n'arrivent pas à faire autrement. Ils disent cela comme si c'était une anecdote, quelque chose qui n'était pas grave, "c'est tout moi ça..."...
Mais si, le manque de respect, c'est grave ! Quelqu'un qui arrive en retard de plus d'une demi heure à chacun de ses rendez-vous avec moi, me manque de respect, c'est simple.

Alors, comme je ne suis pas un couillon et que je n'organise pas mes journées en fonction du bon plaisir des gens qui me manquent de respect dans ce genre de domaine, j'ai décidé de ne plus permettre cela, c'est comme ça.  En plus, ces personnes ont le culot, quand j'évoque leurs retards systématique, de me dire que je suis impatient...Il ne faut vraiment pas manquer de souffle ! Une expression définit bien ce phénomène, "l’hôpital qui se fout de la charité". Il est ardu de soutenir qu'une personne qui attend 30 minutes, une fois, deux fois, dix fois, est impatiente...Quand on leur propose de solutionner le problème, ces personnes nous répondent qu'elles se connaissent et qu'elles n'arriveront pas à ne plus arriver en retard à chaque fois. Elles auraient déjà du se priver de quelques sorties avec certaines personnes à cause de ça. Ces personnes refusent de solutionner leur problème de manque de respect des autres, il faut donc solutionner le problème pour elles, à moins que l'on puisse cautionner un manque de respect de sa propre personne..

Deux analyses pourraient expliquer ce phénomène. Soit ces personnes sont infantiles et s'avèrent incapable de solutionner des problèmes facilement solubles, soit elles n'ont pas la volonté de mettre un temps soit peu le respect des autres, en avant par rapport à leur confort personnel, même si ça n'implique que des détails superficiels de leur vie.

Personnellement , quand j'ai rendez-vous avec quelqu'un, je n'attends ni des enfants, ni des égoïstes...

20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 22:39

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Des stries dans la purée...

La personnification des animaux

Droits des animaux : l'homme a ses traditions que la raison ignore..

 

On aime être chez soit, on se sent bien, comme à la maison, d'ailleurs on y est, dans sa maison. Ici, on est le chef, ça n'est pas fréquent, c'est aussi pour cela que l'on aime notre chez nous, parce que dans cette bulle, c'est nous qui décidons, du moins plus qu'ailleurs...On filtre les entrées, on décide des règles, dans la mesure ou elles n’empiètent pas outre mesure, sur les règles fixées par le voisin du dessous...

Alors voilà, comme souvent, nos croyances nous trompent, notre éducation nous ment et notre culture n'est qu'une chimère. Oui même chez nous, nous ne sommes pas chez nous. Lorsque l'on ouvre les yeux, l'esprit et qu'on tente un temps soit peu de sortir des normes et valeurs absurdes que l'on nous inculque, que l'on nous fait croire comme rationnelles, on se rend compte que tout ceci est faux. Rien ne nous appartient, le besoin de possession n'est que la tentative de comblement de certaines angoisses, inhérentes à ceux qui ont comme objectif le contrôle et qui constatent, souvent inconsciemment, que ce contrôle leur échappera toujours. Rien n'est certain, tout est douteux et croire que certaines choses, comme notre appartement, nous sont acquises, est une redoutable et commune erreur de la race humaine.

Aujourd'hui par exemple, je suis rentré chez moi, j'étais heureux de retrouver cet univers familier, avec ses slips sales laissés ou je les ai jeté, mon troupeau de moutons sous les meubles, mes restes de bouffes un peu partout, la vaisselle de trois jour qui traine dans l'évier...Bref, un endroit à mon image, qui me rassure dans un monde qui ne me correspond que rarement. Hélas, mon espoir fut bien vite déçu, voyant que mon appartement fut occupé à mon insu. Je ne les avais pas vu venir, tapies dans l'ombre qu'elles étaient. Elles avaient grandi dans quelques sachet de pâtes et de farines ouverts, avaient attendus le moment propice pour sortir en force de leur tanière et m'annoncer d'un coups, d'un seul, qu'elles avaient investit mon chez moi et qu'elles comptaient bien rester quelques temps. Oui, les mites alimentaires avaient su profiter de ma faiblesse de ne jamais m'être trop soucié de l'intérieur de mes palcards. Seul ma main s'y introduisait de temps à autres, pour en tirer quelques nourritures riches en oligos-excréments, qui sauraient contenter mon estomac poubelle, élevé à la conserve et à la sauce Panzani...

Que faire face à cela, admettre que rien n'était vraiment à moi ici, ou agir comme un con ? J'allais au plus pressé et agit donc comme un con. Ne me souciant guère des vies de ces quelques mites, je pris un paquet de mouchoir entier, faisant office de tapette à mites et j'exécutais la sentence que je réserve à ceux qui entrent chez moi sans mon autorisation. Vicieux et cruel, je laissais quelques instant les traces des impactes de corps d'insectes écrasés sur les murs, tel des trophées. Je rangeais alors tous mes placards et découvri un écosystyème insoupçonné de larves, toutes prêtes à s'envoler dans mon appartement une fois leur mutation exécutée. Certains de ces insectes avaient même adopté mon four comme logis, je l'allumais alors puissance maximale et fit griller les habitants du lieu habituellement réservé à mes pizzas.

Voilà qu'enfin, tout fut terminé, je ne voyais plus une mite, j'avais rangé des placards qui ne l'avaient pas été depuis mon arrivée dans ce logis il y a trois ans, bref, un certain soulagement m'envahit. C'était comme si j'avais repris le contrôle de ma maison, mais là encore, c'était une chimère. D'ici quelques jours, les mites reviendront et si ça n'est pas elles, ça sera des cafards, des fourmis, des moucherons ou encore mes voisins qui décideront de se venger de trop m'entendre brailler avec ma guitare. Rien est a moi ici, même pas mes paquets de pâtes. En plus je loue ce lieu provisoirement. Tout est précaire dans la vie, la vie elle même est précaire. On peut la voire mise en danger à cause d'un ridicule insecte, la petite bête qui mange la grosse comme on dit. La semaine dernière, lors du tournage d'un clip de Pari Drakkar, je me suis fait bouffer par une tique. Résultat, infection et quatre semaines d'antibios, dosés à 4g par jours (ce qui est un bon score..).

Je me dis alors que j'aurais pu accepter de partager mon appartement avec des insectes, plutôt que de tous les butter, mais que voulez vous, je dois admettre que ma connerie dépasse parfois, même souvent la raison. Alors j'ai agis comme un gros plouc de base, j'ai fait preuve de répression irréfléchie et j'ai fais un génocide de mites alimentaires. Il y en a qui font cela avec des humains, je me suis contenté des mythes, mais hélas, le principe reste le même...

20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 14:10

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LES GROUPEMENTS

La roue tourne...

L'anti snob

Des stries dans la purée...

Un conglomérat de reste...

 

Lignes droites et oblitérations ont tracés les sillons du chemin que l'on suit. Alors suivons et marchons dans les tranchés, les pieds s'enfonçant dans la boue, pour que l'on ne saute pas, que l'on soit bien inséré dans nos appuis terre à terre...Il ne faudrait pas croire que nous puissions voler, c'est comme l'oiseau, qui nous regarde et nous chie dessus, il a toute l'occasion de le faire, de nous viser, car on se presse, mais on avance lentement, pour que l'on ne puisse pas nous perdre. On reste collé, scotché ici, comme sur du papier tue mouche...

Et puis du vent, une brise, puis deux et enfin un ouragan vient nous décoller et l'on part ailleurs. C'est le bordel, tout en désordre. Des tranchées écroulées, écroulées sur des corps sans vie et d'autres s'en sont sortis, ceux qui furent assez léger pour se faire porter par le vent, sans s'accrocher aux habitudes géographiques rases mottes du passé.

C'est le bordel, plus de lignes droites et des oblitérations qui semblent maintenant être devenu des trous béant, laissant paraître le vide intersidéral qu'elles ne laissaient présager. Alors l'horizon s'éclaircit, s'élargi, plus rien ne nous presse, ne nous oppresse, le vent a tout emporté. Alors on réfléchi, parce qu'avant, on en avait pas le temps. On réfléchi parce qu'on le peut, parce qu'on a plus le choix. Il n'y a plus rien qui nous guide maintenant et il va falloir s'en sortir par nous même. On ne peut plus compter sur un système, qu'il était bien commode de suivre et qui s'accommodait bien des ressources qu'il puisait de notre ancienne condition d'esclaves.

Semer le désordre permet de réfléchir, parce que l'ordre n'est en rien source d'inspiration. L'ordre est un outil, comme une pioche ou un marteau. Trop d'ordre tue l'envie, l'énergie source de vie. Trop d'ordre n'est pas honnête, c'est de la manipulation, car on ne peut pas tout ordonner, au point de nous faire croire que nous sommes condamnés à marcher pressés, les semelles collées à la boue des tranchées... 

19 mai 2011 4 19 /05 /mai /2011 15:27

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La folle décision de renoncer au nucléaire ?

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Quoi, le Japon ?

 

Alors comme j'ai un peu l'esprit de contradiction, que j'ai une fameuse tendance à m'acharner sur les problèmes non divulgués, les non dits manipulatoires, je vais encore en remettre une couche sur la situation de catastrophe nucléaire au Japon, dont on ne parle pas. Elle est belle la manipulation médiatique du système néolibéral ! On continue à nous matraquer d'infos exclusives pour nous cacher les vrais problèmes du monde...Un coups de mariage princier, un coups de Ben Laden, un coups de DSK et tout le monde regarde, tout le monde en parle, tout le monde oublie tout le reste...

Aujourd'hui, plus de trace de la situation japonaise dans les médias, si ça n'est pour nous apporter quelques soit disant bonnes nouvelles sporadiques. Parfois, on voit un homme filmé dans la centrale en ruine, une fuite d'eau radioactive que l'on colmate, on parle de circuits de refroidissements soit disant rétablis, ou des discours officiels de TEPCO, nous affirmant que la situation serait stabilisée dans les réacteurs nucléaires pour janvier...

En résumé, on ne nous dit pas grand chose et pourtant, il s'en passe des choses là bas, des choses graves. Quand on dit que la situation est grave et que l'on nous ment par omission, une flopée de pro nucléaire vient nous expliquer que la situation est stabilisé, qu'on alarme les gens pour rien, qu'on se sert de la catastrophe pour sur enchérir sur des théories écolo irréalistes et qu'on a aucune compétence pour dire quoi que ce soit à propos de la politique énergétique dont on ne comprend pas les implications...Ils nous argumentent que sans le nucléaire, notre facture d'électricité exploserait, que le nucléaire nous permet d'avoir une indépendance énergétique ou encore que c'est la source d'énergie la plus sure et la moins polluante...Malgré ce qu'il vient de se passer au Japon, ce qui s'est passé à Tchernobyl, les fuites radioactives et divers incidents ayant lieu plus de 1000 fois par ans, rien que dans les centrales française, les entassements sauvages des déchets nucléaires de tous bords, les conséquences des essais nucléaires de 1945 à 1995 sur notre environnement...

Quelques liens en rapport : Catastrophe nucléaire : les citoyens japonais se mobilisent...      

Energies renouvelables / nucléaire : le grand foutage de gueule du ministère de l'écologie.

Le Tchernobyl sous marin

Alerte nucléaire...Ca n'est pas une blague...

Qu'on publie les résultats d'analyses sur le nuage radioactif !

Agir en conséquence !

2053 essais nucléaires depuis 1945 !!!


Alors plutôt que de parler moi même, je vais ici laisser parler un scientifique, dont les dires auront peut-être plus de crédit que les miennes...Voici son article sur le sujet :

Je vous communique un post de jean-pierre Petit paru sur 20 mn qui vous fait une descrition réaliste et tragique de la situation telle qu'elle est à Fukushima.

Il faut forcer le silence et l'indifférence des medias. Notre planète est fichue si on continue comme ça.

Qui va arriver à créer un large mouvement d'opinion pour que Fukushima devienne une cause planétaire !

le Japon est mort s'ils continuent comme ça ! Et nous aussi peu à peu ! C'est terrible d'assister à une catastrophe pareille et de rester impuissant !

Ah ! Le CAC 40 va bien ? Les quarante et mille voleurs se remplissent les poches ? Vous me rassurez !!

 

L'opinion d'un scientifique


Pas question pour moi d'intervenir sous un pseudo. Je suis Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche au Cnrs. Je vois qu'à Fukushima l'opérateur TEPCO et le gouvernement n'ont pas réagi comme ils auraient dû le faire. "A la russe". Il aurait fallu immédiatement faire des travaux de dégagement routiers pour permettre l'acheminement de moyens lourds. Ces sarcophages ne résoudront rien. Un séisme peut fracturer n'importe quelle dalle de béton, quelle que soit son épaisseur. A mon avis le séisme a fissuré celles qui se trouvent sous le réacteur. D'où fuites incontrôlable d'eau radioactive vers la mer. Il aurait fallu donc dégager les sources de radioactivité au plus vite, et au moins celles qui pouvaient être accessibles : les contenus des piscines. Pour ce faire il aurait fallu amener à pied d'oeuvre un pont roulant, capable d'enjamber les réacteurs, en le télécommandant. Le Japon est leader en matière d'industrie lourde et de construction navale. De tels ponts existent déjà, très puissants. Restait à les acheminer, ce qui n'aurait pas été facile. En les démontant partiellement, et par la mer ?
Mais au lieu de ça, 50 pauvres types ont arrosé les réacteurs avec des lances à incendie...
Pathétique !
Des ponts roulant auraient pu dégager les poutrelles légères qui encombraient le dessus, qui sont retombées après l'explosion. De puissants grappins auraient permis de dégager les décombres.
Enfin, les Japonais auraient pu enlever, laborieusement, les assemblages en les extrayant des piscines, pour les replonger au plus vite dans des containers portés par des camions, emplis d'eau. Tout cela aurait pu être télécommandé. La radioactivité est présente à proximité des réacteurs, mais elle reste sans commune mesure avec celle de Tchernobyl, immédiatement après l'explosion du réacteur.
Transportés immergés, par cette noria de camion, ces assemblages auraient pu simplement être réimmergés dans un vaste bassin. Voire même dans un ... port, ou un pièce d'eau. Séparés les un des autres, sous quelques mètres d'eau, leur chaleur aurait pu être dissipée, sans avoir besoin " de les arroser". Après, on aurait construit une piscine pour les immerger de nouveau (comme à la Hague).
C'était la mesure d'urgence. Ouvrir les cuves aurait été une toute autre affaire. Pas sûr que ça soit faisable. Mais pour les piscines, oui.
Ce qui se passe au Japon est l'illustration des dérives du libéralisme qui dit toujours qu'il y a " trop d'Etat ". Le pouvoir politique Nippon est inexistant. Il est "aux ordres" et là, les ordres n'arrivent pas. Il n'y a pas de "cellule de crise". Les spécialistes du nucléaires, sollicités pour se rendre sur les lieux, se sont défilés. Simple état de fait.
Si on se replonge dans ce qui s'est passé à Tchernobyl, on peut voir qu'une crise nucléaire coûte très cher. Tout de suite, il fallait pouvoir se dire "cette crise va coûter des milliards de dollars", et pouvoir les mettre sur la table. Mais qui pouvait faire cela ?
Il est significatif qu'un mois après la catastrophe des journalistes aient pu s'aventurer près du site avec une simple voiture, sans apercevoir le moindre contrôle policier ou militaire. Il aurait fallu boucler la zone très vite. Ces gens sont revenus avec un véhicule possiblement contaminé.
Il aurait fallu, comme l'ont fait les Russes, créer une brigade dont la mission aurait été d'abattre tousles animaux errants, dans la zone, domestique ou sauvags. Les chiens peuvent ramener de la radioactivité dans leurs poils.
Je sais que le Japon était dans le chaos et que réagir face à une telle situation n'était pas facile, avec les conséquences du tsunami. Mais on a entendu personne dire "je prends les choses en main". La pantomime où on a pu voir les responsables de TEPCO se prosterner, face contre terre, était lamentable.
Lamentable aussi ce refus nippon d'aide extérieure. Lamentable le fait d'être leaders en matière de robots domestiques, et de n'en avoir aucun capable d'intervenir en "zone chaude".Et de refuser de recevoir des robots étrangers.
Cette affaire ne fait que commencer. Les sarcophages ne résoudront rien, sinon en cachant au public l'état des réacteurs. En cessant d'être arrosés, les éléments combustibles monteront en température. On ne connait pas l'état du soubassement, sous les réacteurs. Il doit être fracturé et la radioactivité polluera la nappe phréatique, filera dans la mer. Il sera alors techniquement impossible de contrer cette dissémination.
Il est effarant que les Japonais aient évacué 10.000 tonnes d'eau hautement contaminée, simplement dans la mer, quand les cuves ont été pleines, "en s'excusant auprès des riverains". N'importe quel bateau disposant de cuves (un vieux pétrolier prêt à partir à la ferraille) aurait pu siphonner cette eau, en s'ancrant dans le port. Quitte à l'emmener à 2000 bornes de là, quand ses cuves sont pleines, et à le couler, sans ouvrir ses cuves. La rouille aurait lentement fait son oeuvre et cette eau contaminée aurait été relâchée en 30 ou 40 ans. Mais ce pétrolier se remplissant d'eau contaminée, ça aurait fait mauvais effet. Sa photo aurait circulé partout. Les gens de TEPCO ont préféré se débarrasser de cette eau "en douce", comme un chat qui planque ses excréments sous un tapis. Relâcher cette eau en bordure de mer était la pire des choses à faire. Mais les Japonais sont dépassés. Il n'y a personne à la barre.
Les seuls qui ont une réelle expérience de ce genre de crise gravissime, ce sont les Russes. Mais qui imaginerait que les Japonais puissent, ne serait-ce que recevoir la visite d'experts étrangers, d'où qu'ils viennent, et, au-delà, de voir ces gens faire des recommandations ? Non, les affaires japonaises ne regardent que les Japonais. Mais dans ce cas, ces gens n'ont aucune expérience. Ils savent réagir très efficacement à des tremblement de terre. Là, les gens sont formés à tous les niveaux. Mais, côté nucléaire, ça a été 30 années d'anesthésie à tous les niveaux. D'où cette incapacité à réagir.
Chez nous, au passage, ça serait pareil, en cas de grosse crise.
Le Japon a reçu ... le soutien d'AREVA. Mais rien de plus. AREVA n'aurait pas pu s'asseoir sur ce nid de guèpes. De plus AREVA est responsable de la présence de plutonium dans la cuve du réacteur numéro 3, combustible du MOX, vendu par la France aux Japonais.
Les poissons disperseront ces polluants radioactifs en les disséminant dans la chaîne alimentaire. Un jour peut-être on déconseillera au public de ... consommer du poisson. Après peut-être les veaux que nous sommes réagiront-ils.
Fukushima risque de devenir un problème planétaire du fait des emplâtres sur jambe de bois qui ont été mis en oeuvre. Sous cet angle c'est terrible à dire, mais ça sera la seule chance que nous ayions de réagir contre ce danger du nucléaire.
Hier, j'étais le seul scientifique et le seul universitaire à m'être joint aux 200 manifestants réunis devant l'hôtel Aixoix où les 20 députés européens écoutaient les sermons des gens d'ITER, plaidant pour le triplement de leur budget, passant d'un à 3 milliards d'euros. J'ai remis un document à une des parlementaires, Michèle Rivasi. 15 pages en 40 exemplaires, expliquant ma vision des choses, un vision de scientifique et d'ingénieur. Les gens ne le savent pas, mais tel qu'il se présente, ITER n'est pas un démonstrateur, du tout. On envisage avec ce projet déjà pharaonique de ne gérer qu'une seule des deux réactions nucléaires-clés, la fusion deutérium tritium. La seconde, la régénération du tritium par fission du lithium sous l'effet du bombardement neutronique sera seulement "testée" sur ITER, qui ne possède pas de système de dépollution de son plasma.
Oui, si on le construit, ITER fonctionnera 400 secondes en produisant "plus d'énergie qu'on n'en injecte". Mais rien ne sera résolu pour autant. Répondant à ma question, un des responsables m'a dit au téléphone, il y a quelques jours : "Oui, on pourra peut-être un jour avoir un générateur à fusion, si on n'est pas à quelques dizaines de milliards d'euros près, ni à quelques décennies près" (...)
Voilà ....


Jean-Pierre Petit

19 mai 2011 4 19 /05 /mai /2011 13:27

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Alors, on tente d'accepter ce qui nous dérange, nous irrite chez l'autre. On essaye de prendre du recul sur l'irrationalité de son énervement, pour mieux comprendre comment les autres en sont venu à nous énerver, voire nous stupéfier par l'étalage public de leur connerie.

A bout d'un moment, en apprenant à mieux connaître les autres et à mieux se connaître soit même, dans nos relations avec les autres et si tous savent prendre le recul nécessaire à leur propre compréhension et à celle des autres, on finit par surmonter les différences de caractère, de comportement et d'appréhension du monde de chacun.
Si ça n'est pas le cas, on trouvera les autres de pire en pire, exacerbant de plus en plus ce que l'on aime pas chez eux, sans qu'eux même puissent comprendre que leur attitude, analysée dans ses détails par ceux qu'elle énerve, puisse être susceptible d'énerver quelqu'un. Alors, se sentant plus à l'aise, connaissant les autres depuis plus de temps, chacun désinhibe sa stupidité, peste de plus en plus sur les autres, jusqu'à ce que la bulle de mensonge et de non dit éclate.

Chacun se dira alors ses vérités et d'autres ne donneront plus signe de vie du jour au lendemain. On aura alors la nostalgie d'avoir fait quelques trucs, que l'on aurait pas pu faire seul et l'amertume du fait que, par le cloisonnement et la non ouverture des personnes participant au projet vers les autres et vers d'autres idées, ce dernier n'ai pas pu aller plus loin.

Tous les projets n'aboutissent pas, parfois on les voit arriver à leur terme. Le projet c'est alors heurté à ses propres limites ou aux limites de ses créateurs, collaborateurs et de leur cohésion collective. C'est comme ça, on peut s'acharner et arriver à surmonter les choses, mais parfois, il faut aussi savoir passer à autre chose...Tout dépend...

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